"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Bien souvent on ne connaît un personnage illustre que par des témoignages extérieurs ou par les images simplifiées qu'engendrent sa renommée.
Et il est peu de saints qui aient consenti à témoigner sur eux-mêmes. Ces rares témoignages sont d'autant plus précieux. L'Autobiographie, dictée par saint Ignace à son secrétaire vers la fin de sa vie, révèle ainsi les péripéties dramatiques que cet homme a connues pour répondre à sa vocation, et comment, à travers des aventures qui nous paraissent aujourd'hui d'un extraordinaire pittoresque, il se laissait guider.
Raconté par lui-même, ce Général autoritaire n'est plus qu'un ascète aux renouements incroyables, un pèlerin sans ressources qui affronte, l'âme ingénue, les pires dangers, un apôtre harcelé par des clercs incompréhensifs, un homme de Dieu, enfin, animé toujours d'un seul souci : la plus grande gloire de son Créateur et Seigneur. Une première traduction française de l'Autobiographie avait été réalisée en 1922 sous le titre le Récit du pèlerin.
La traduction offerte ici est celle, désormais classique, que publia Alain Guillermou en 1962.
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