Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
C'EST par eau qu'il faut y venir. La berge a peine à contenir Le fouillis d'herbes et de branches, Ce monde petit et charmant, La grande roue en mouvement, Les vannes et leurs ponts de planches.Un bruit frais d'écluses et d'eau Monte derrière le rideau De la ramure ensoleillée. Quand on approche il est plus clair ; Le barrage jette dans l'air Comme une odeur vive et mouillée.Pour arriver jusqu'à la cour On passe, chacun à son tour, Par le moulin plein de farine, Où la mouture en s'envolant, Blanche et qui sent le bon pain blanc, Réjouit l'oeil et la narine.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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