80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le 13 mars 2016, la ville de Grand-Bassam a subi le premier attentat terroriste perpétré sur le territoire ivoirien. A ce jour, les âmes libres des 18 victimes de cette barbarie continuent de planer sur les bords de la plage. En pareille circonstance, le devoir de mémoire exige que l'on revienne sur ces évènements douloureux.
Une façon de rendre hommage à toutes ces familles endeuillées qui, loin des feux des projecteurs, parfois même dans la solitude la plus absolue, continuent de ressasser leur douleur et de crier leur indignation. Chaque ligne de ce texte rappelle le calvaire vécu par ces innocentes victimes dont le seul crime était d'avoir été présentes à cet instant précis pour humer la saveur de la vie.
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