L'histoire de la physique prouve qu'il n'est pas aisé de formuler des théories qui ne courent pas le risque d'être invalidées par des expériences nouvelles. En 1856, Weber a montré que le rapport entre les courants magnétiques et électrostatiques avait la valeur et les unités de la vitesse de la lumière. Cette découverte, qui contestait les fondements de la théorie d'Ampère, aurait dû imposer sa révision. En partant de concepts physiques simples, cet ouvrage montre que des analyses plus approfondies peuvent modifier notre manière de penser. En revisitant des lois et des principes et en proposant des solutions alternatives, on démontre qu'en physique, il n'y a pas des vérités mais seulement des hypothèses. Analyses critiques de l'évolution de la physique est construit sous la forme d'un dialogue entre des contradicteurs fictifs qui discutent de différentes variantes théoriques, de leurs conséquences et de leurs antagonismes. Il s'adresse aux lecteurs curieux de voir les conséquences d'une réinterprétation « des vérités premières » de cette science.
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