"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
1991 marque la première année après la fin de la guerre civile libanaise. Pour le gouvernement, l'heure était à la reconstruction du pays. Le sport, secteur traditionnellement considéré au Liban comme « secondaire », a de facto été mis de côté. Il a fallu environ dix ans pour que le gouvernement libanais commence à promulguer les premiers articles de loi précisant le fonctionnement et la relation entre les différents organismes sportifs du pays. Bien que ces mesures aient défini le mécanisme sportif libanais, la structuration des rapports entre les acteurs de ce système a souvent été perturbée par les luttes politiques internes de ce pays. Ce climat politique a également empêché la mise en place d'un mode de financement transparent. Cet état des choses a fortement affecté les fédérations et associations sportives qui rencontrent beaucoup de difficultés pour développer leurs disciplines et obtenir des résultats remarquables dans les compétitions internationales.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !