Un roman indispensable, "Le livre que je ne voulais pas écrire" d'Erwan Larher aux éditions Quidam
Avec son sourire carnassier et ses costumes chics, Patrick Bateman est l'incarnation du golden boy new-yorkais. Mais, à la nuit tombante, il laisse libre cours à sa démence. En bon serial killer, Patrick viole, torture et tue. Dans un monde lisse de tout sentiment, jusqu'où l'horreur peut-elle aller ?
Un roman indispensable, "Le livre que je ne voulais pas écrire" d'Erwan Larher aux éditions Quidam
"Coeur-naufrage" le dernier roman de Delphine Bertholon vient de paraitre chez J.C. Lattès
Caricature grossière de la jeune génération Trump : les yuppies. Où la valeur première est L'APPARENCE. D'ailleurs, si vous passez votre temps à enlever tout ce qui y a attrait, il reste dix pourcents du livre !!!
Une lecture ennuyeuse. Très très très ennuyeuse ... Qui ne rapporte rien !
Certaines scènes sont extrêmement choquantes mais tellement surréalistes que ça en devient grotesque ! Vous avez déjà vu un assassin ouvrir le ventre de sa victime rien qu'avec ses mains vous ??? Ou encore arracher la peau des doigts comme si vous déballiez un mars ou un Snickers ??? RIDICULE !!!
Alors... Que dire de ce roman...?
C'est un livre que j'ai arrêté vers les deux cents pages. Les causeries incessantes, avec ses potes goldens boys qui ne font pas du tout avancer l'histoire, passant d'un endroit à l'autre, avec des descriptions vestimentaires à n'en plus finir, ont eu raison de ma patience ! Je m'attendais à une intrigue qui allait me tenir en haleine... Que ne fût grande ma déception ! Un livre culte paraît-il? en tout cas pas pour moi.
cruel et choquant..se lit et se reçoit comme une série de coups de poing - les mots assomment (je pense aux successions de noms de marques de luxe), les tournures écoeurent (bcp de ruptures, d'ellipses, des phrases parfois incompréhensibles) des scènes sanglantes froides et précises terminent la description d'une génération de yuppies déshumanisés. la tentation est grande de généraliser la psychose décrite à toute la profession mais il faut s'en garder. Glamorama du même auteur parvient à atteindre un niveau supérieur sur l'échelle du dégoût tout en traitant du milieu de la mode..
C'est certainement très bien écrit mais la narration détaillée des scènes de meurtres et de torture est telle que je n'ai pas pu aller jusqu'au bout du livre.
Un roman qui m'aura marquée par le profond malaise que j'ai ressenti à sa lecture.
Autant Bret Easton Ellis m'avait profondément ennuyé avec "Moins que zéro", autant il m'a enthousiasmé avec "American Psycho". Le style d'écriture qui était le point faible de son premier roman devient le point fort de celui-ci. Ce style lourd et répétitif permet de créer cette atmosphère aseptisée où évolue le narrateur psychopathe. Il n'est qu'un pion qui obéit instinctivement aux règles de vie dictées par le monde de la finance. Plus sa vie s'enfonce dans la monotonie et l'indifférence, plus ses crimes sont cruels et fréquents. Il semble tout simplement prendre dans ses meurtres les libertés que son univers lui a confisquées.
Malgré des descriptions matérielles pesantes, le texte m'a entraîné avec force dans l'esprit malade et confus de Patrick Bateman. Seuls les quelques chapitres décrivant avec moult détails les impressions du narrateur sur les albums d'artistes (Whitney Houston, Génésis...) m'ont paru superflus, mais le tout reste une expérience unique, qui bouleverse les codes et qui m'a marqué au fer rouge!
Un livre ne pouvant pas laisser indifférent et qui fait se poser beaucoup de questions notamment la fin...
âmes sensibles s'abstenir
Ce livre est intéressant dans la façon dont il est écrit. Mais très dérangeant, certains passages donnent une impression insoutenable. On finit par se demander où l'auteur a trouvé son inspiration tant c'est dur.
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