80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Partant de son expérience personnelle d'Africain et de cinéaste, l'auteur propose à chacun de se faire son film individuel afin d'opposer aux narratives manipulatrices de la «médiatique» une dynamique permettant d'opérer une transformation de la société. Il fait avant tout un diagnostic sur les dysfonctionnements apparents dans les comportements et l'environnement au moment où des ensembles se mettent en place tant au niveau géopolitique qu'au niveau économique nous obligeant à passer de la micropolitique locale à la cosmopolitique mondialisée. Un demi siècle après les indépendances saccagées par les anti-indépendantistes, le destin d'une «Afrique à inventer» est aussi celui d'une Europe qui après avoir étendu ses frontières physiques et mentales croit qu'elle pourrait un jour les refermer. La proposition de l'Afrique à l'Europe est de sortir de l'impasse du vieux projet Afro-européen qui est avant tout une impasse des excès du libéralisme, de l'idéologie, du racisme et de l'arbitraire, afin de construire autre chose sur la base des balbutiements que sont la mixité, la diversité, le métissage, le tout-monde, l'intégration... Si l'Afrique peut inspirer le mantisme qui est une conscience écologique universaliste et humaniste de notre planète, le cinéma lui, peut, fournir un support «virtuel» pour une action politique réelle» dans la société transculturelle et mondialisée du futur.
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