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En août 2010, l'avocat d'Omar Raddad demande à la Chancellerie l'ouverture d'une information judiciaire. Elle réclame la comparaison des deux ADN trouvés sur la scène du crime mêlés au sang de Ghislaine Marchal. Demande déjà formulée sans succès en 2002 par Me Jacques Vergès lors de la requête en révision de son procès, qu'il n'obtint pas.
En 1994, Omar Raddad a été condamné à 18 ans de réclusion de criminelle pour le meurtre de Mme Marchal, riche veuve poignardée dans sa cave le 23 juin 1991. Sur le lieu du crime, l'inscription tracée avec le sang de la victime, " OMAR M'A TUER ", accablait ce dernier. Gracié par Jacques Chirac en 1998, Omar Raddad ne cesse de clamer son innocence.
Sa ténacité l'a conduit, soutenu par le roi du Maroc, à lancer une contre-enquête parallèle à celle des gendarmes, menée par un détective, pour trouver de nouveaux indices visant à l'innocenter, voire un autre coupable.
Guy Hugnet explore minutieusement les différents scénarios de l'accusation et de la défense. Il éclaire d'un jour nouveau les coulisses d'une affaire aux rebondissements multiples et conduit le lecteur à partir des événements les plus récents jusqu'au coeur du mystère.
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