80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Mars 1968 met une fin brutale à ma vie en Pologne. Je me découvre Juive et indésirable. Je dois quitter un pays que je croyais le mien, des amis chers et un avenir devenu impossible. Cet exil met également fin à ma famille. Ignacy, mon père, qui a perdu presque toute sa famille dans la Shoah, part au Canada ; Irena, ma mère, combattante de l'Organisation Juive de combat durant l'Insurrection de Varsovie, rejoint son nouveau mari en Italie, et moi, je vais faire mes études en Suisse.
De leur passé agité et douloureux, Irena et Ignacy ne voulaient pas parler.
Ici, ils se confient enfin. Au moins un peu. Parce que personne ne doit disparaître sans laisser de trace.
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