80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il y a plusieurs décennies, les philosophes post-modernes préparèrent le terrain à l'émancipation du réel. Les chercheurs en sciences sociales, les activistes, accueillirent avec bienveillance les théories qui leur procuraient une licence pour dire tout et son contraire et surtout imposer leurs propres idéologies. Depuis, les relativismes en tout genre n'ont cessé de s'infuser dans la société. Les esprits entrainés de longue date à ne plus détecter l'inconsistance et/ou l'invraisemblance sont désormais gouvernables par des platitudes.
En ce début de XXIe siècle, les effets délétères de la pensée dite «post-moderne» sont encore observables. Puisque tous les jugements se valent, les croyances délirantes ou erronées sont à l'abri de tout jugement de valeur et peuvent ainsi prospérer jusqu'à l'absurde.
Ce paradigme, l'auteur le critique durement et démontre qu'il mène à une impasse cognitive. Il traite notamment des rapports ambigus entre l'activisme, la science et le concept de scientificité. Il empoigne le concept d'identité collective, simple fiction au service des entrepreneurs de l'identité, qu'il s'efforce de déconstruire méthodiquement.
Les titres des parties de ce livre parlent d'eux même : «L'idéologie à l'assaut de la science», «l'activisme à l'assaut du répertoire culturel», «l'activisme et ses techniques de manipulation», «l'activisme, ses inconsistances et ses coûts humains».
L'auteur propose une véritable révolution intellectuelle, un nouveau modèle à même de soutenir l'accroissement permanent du libre arbitre, de la pensée indépendante, l'émancipation individuelle vis-à-vis des déterminismes sociaux et culturels, ainsi qu'une vision naturaliste inédite du perfectionnement individuel.
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