"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Gaby Cohn-Bendit ne mâche pas ses mots pour dénoncer ce qu'il appelle "la petite secte verte" et son "politburo". Entendez par là les Jean-Vincent Placé et autre Cécile Duflot. Conclusion : " Pour que vive l'écologie, il faut en finir avec le Parti Vert. Si le vert est une couleur symbolique que j'aime, explique-t-il, le parti, en revanche, est une dangereuse monstruosité qu'il faut combattre. " Pour cet " intermittent du spectacle politique", comme il se définit lui-même, " les écolos sont capables du meilleur comme du pire, mais c'est toujours dans le pire qu'ils sont incontestablement les meilleurs. " Un plaidoyer du grand frère de "Dany" pour une écologie libertaire. Et un réquisitoire contre la dérive bureaucratique du parti écolo. Ce pamphlet est aussi un récit passionnant et inédit sur la guérilla et les coups bas qui jalonnent l'histoire d'un parti qui se flatte, pourtant, d'être différent des autres.
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