Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Le dernier numéro de 1895 revue d'histoire du cinéma (n°97, été 2022) est consacré aux films comme « lieux de mémoire » - quand ils font l'objet d'une appropriation par un groupe social, une population ou plus généralement des publics - et comme « mémoires des lieux » - quand ils perpétuent la physionomie d'un espace « capté » ou « recréé » dont ils portent témoignage après sa disparition ou sa transformation. Trois études abordent cette problématique qui fait l'objet d'une introduction: le quartier de Belleville des premiers films aux plus récents (Michel Denis et Juliette Dubois), le barrage de l'Aigle en Dordogne dans le film de Jean Grémillon, Lumière d'été (1943) (François Albera) et la bourgade de Maiori près de Naples où Roberto Rossellini filma la dernière scène de Viaggio in Italia (1953). Dans la partie Archives, la correspondance reçue et envoyée par le critique d'Arts-spectacles, François Truffaut (2e partie), un entretien avec le cinéaste Maurice Delbez, récemment disparu, et un entretien avec l'exploitante de salles d'art et d'essai (La Pagode), Yvonne Decaris.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !