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11 SERPENTS, thriller humoristique.
Après le succès de L'héritage de tata Lucie, vendu à plus de 70.000 exemplaires, Philippe Saimbert présente une nouvelle comédie doublée d'un thriller familial : 11 SERPENTS.
L'HISTOIRE : La terrible cousine Abeline, aussi riche qu'originale, convie amis et famille dans son domaine pour leur faire une étrange proposition. Elle leur propose un jeu où les participants devront se montrer drôles et machiavéliques.
Elle cédera la moitié de sa fortune à celui ou celle qui remportera le défi.
11 invités. 11 serpents. Le gagnant sera celui qui mordra le plus fort.
Coups de théâtres, scènes cocasses et parfois cruelles vont s'enchaîner jusqu'à l'incontournable twist final.
Les 11 serpents sont onze personnes qu'Abeline convie à un petit jeu dont le vainqueur, celui qui mordra le plus fort, se verra récompensé de la moitié de ses biens.
Il faut dire que cette dame de soixante-dix ans est une originale qui a fait fortune grâce à une recette de tourte aux vertus soi-disant médicinales, et à son domaine viticole. Au nombre des prétendants, on trouve la famille au grand complet. L'acariâtre et méchante sœur qui n'aime que Lord Chester, son Maine Coon pure race et caractériel, et les cousins cousines qui représentent un bel échantillonnage populaire, avec un romancier de troisième zone et loser patenté, un restaurateur brut de décoffrage, des enseignants bobos qui ne supportent pas la contradiction, et des parents n'ayant d'yeux que pour leur fifille future star de la chanson, elle-même présente. La très dévote cuisinière de la maison, le trader qui gère le patrimoine d'Abeline, et la « bombe » slave qui accompagne le restaurateur, complètent le panel des concurrents.
Les règles sont simples pour Abeline qui veut s'amuser un maximum durant le séjour. Elle a pour cela établi une échelle de notation, allant du simple trait d'esprit à la manœuvre la plus complexe et tordue qui puisse sortir de l'imagination de ses invités, la hauteur de la note attribuée étant proportionnelle à l'inventivité manifestée par l'auteur et au plaisir qu'elle-même aura éprouvé. La violence physique est éliminatoire, mais pour le reste, aucune restriction n'est imposée.
Le ton est très caustique, tant les trouvailles des uns pour déstabiliser les autres tout en marquant des points sont sournoises, perfides, et d'une méchanceté qui va crescendo au fil des pages jusqu'à une surprenante apothéose finale. Tans pis si les dommages collatéraux sont importants, l'essentiel est de monter sur la plus haute marche de ce « podium de Machiavel ». Tout le monde sait qu'on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, mais comme le dit un des personnages : « l'omelette est un plat assez apprécié ces derniers temps ». Même la vengeance, qui se mange en principe froide, peut à l'occasion se servir chaude et en être que plus savoureuse.
J'ai franchement ri en lisant ce roman, mais je reconnais que cet humour noir peut faire rire un peu jaune.
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