Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Bienvenue chez Divine, la lingerie du quartier du jardin du Luxembourg.
En vitrine, le mannequin nous livre ses pensées et nous raconte. Les allées et venues des habitués, les retards du personnel.
Justement, Aline et Brigitte, colocs et collègues sont encore en retard, et Mme Ledoyen les attend de pied ferme.
Alors que la délurée Brigitte est à la vente, la mutine Aline est, elle, dactylo pour Mr Séraphin Laffite, patron héritier, dandy impétueux et porteur du seul secret que le mannequin dans la vitrine ne connaît pas !
Un jour, Aline ouvre malencontreusement une porte qui aurait dû être verrouillée de l'intérieur et surprend un petit quelque chose de Séraphin.
Gêne mutuelle !
Il lui demande de conserver le silence sur ce qu'elle a entrevu, mais les confidences amicales sont rarement muettes...
Et le complexe de l'un devient le problème de l'autre. Ou pas !
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Avec Zidrou, on est toujours assuré d'une plongée humaine passionnante et surprenante.
Cette fois, après moults Beaux Étés et autres Bête, il nous entraîne fin années 50 et ses injonctions à la féminité ou à la virilité.
Stéréotypes, complexes, carcans publicitaires déjà à la norme de l'époque, il nous fait rencontrer deux âmes blessées dans leur chair prêtes à se comprendre.
Il y ajoute pêle mêle toute une galerie de personnages jouissifs (Mme Ledoyen me plaît beaucoup !), chacun traînant ses propres casseroles et étant autre chose que ce qu'il y paraît alors que les complexes des protagonistes principaux se trouvent et se découvrent.
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Une histoire créée sur mesure pour Salomone qui envoûte Paname et sa lingerie fine de son trait fin et velouté, jouant sur les visages criants d'expressivité, les teintes douces et les sentiments palpables.
Immersion totale dans l'époque, l'univers et l'histoire grâce à ces deux artistes qui se retrouvent pour la 2e fois après Celle qui fit le bonheur des insectes.
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Une histoire profondément humaine qui laisse un sourire de bonheur aux lèvres à la dernière page tournée.
Aimons nous, diantre. Oui, les uns les autres, ok...
Mais nous-même avant tout !
aris, 1958, nous découvrons une boutique de lingerie fine à travers les yeux du mannequin de la vitrine. Mais aujourd’hui tout va mal, il n’y a plus de comptable, le camion de livraison a fait un bond dans un obscur cours d’eau belge, et une porte qui aurait dû être verrouillée s’est ouverte. Mais que vient faire une crevette dans cette histoire ? Je ne vais évidemment pas vous le révéler pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte !
C’est une lecture légère et délicieuse, aussi froufroutante que les sous-vêtements de la boutique. Graphiquement, c’est un plaisir pour les yeux, les dessins sont doux et délicats créant une ambiance coquette et douillette. On s’attache à des personnages au caractère bien trempé, ayant chacun leurs petites luttes.
Si vous cherchez une lecture fraîche, pleine d’humour et de tendresse, c’est une BD idéale, oscillant entre le divertissement et l’émotion. Alors passez la porte de la lingerie Dinvine, et venez découvrir le secret de cette crevette.
"La nature, parfois, commet de ses horreurs ! Elle le fait exprès, n'allez pas croire ! Elle est comme ça, la nature: taquine. Cruelle même, parfois."
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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