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L'album a un joli titre : "Litli soliquiétude". Je fais rouler les mots dans ma bouche, ça fait drôle. Litli veut dire "petit" en islandais ; et soliquiétude c'est un "mot inventé pour expliquer ce que Litli ressent à travers les pages du livre : un état de solitude voulue pour approcher du sentiment de quiétude, la tranquillité douce de celui qui marche et fait naître le monde en chemin."
C'est l'histoire d'un petit bonhomme qui quitte la ville, en quête d'un ailleurs - d'une autre vie - d'une vérité - Le texte de Litli est court, chacun pourra y trouver sa place et apporter son interprétation. Et on pourra le lire 1000 fois, les images comme le texte n'auront pas encore révélé tous leurs secrets. Litli est de ces albums que l'on a envie de toujours avoir avec soi, Litli est un album... universel.
C'est un album lourd - c'est peut-être fait exprès pour qu'on ne s'envole pas en lisant le texte délicat de Catherine Leblanc-, au beau papier qui sent bon. La couverture est bien épaisse, en carton brut - serait-ce un rappel du caractère sauvage de la nature ?
Séverine Thevenet dit : "Litli raconte le passage, la transition, la naissance ou la renaissance."
Litli m'a rappelé le texte de Thierry Lenain dans Il faudra (Sarbacane).
Litli, c'est un texte pour un enfant à naître, pour un moment de blocage, pour sauter le pas/oser/ne plus avoir peur/ne plus douter/aller de l'avant.
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