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Reine Andrieu

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Avis sur cet auteur (14)

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    Couverture du livre « L'hiver de Solveig » de Reine Andrieu aux éditions Preludes

    Prune42 sur L'hiver de Solveig de Reine Andrieu

    J'ai passé un agréable moment avec ce livre qui se passe durant la Seconde Guerre Mondiale et dans les années immédiates. Le côté historique m'a beaucoup intéressée ainsi que l'histoire d'amour interdite. L'écriture est agréable à lire et fluide, il y a du suspense notamment avec l'histoire de...
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    J'ai passé un agréable moment avec ce livre qui se passe durant la Seconde Guerre Mondiale et dans les années immédiates. Le côté historique m'a beaucoup intéressée ainsi que l'histoire d'amour interdite. L'écriture est agréable à lire et fluide, il y a du suspense notamment avec l'histoire de la fillette amnésique. Quant à la fin du livre, je ne m'attendais pas à ça, elle est vraiment glaçante et terrible.

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    Couverture du livre « L'hiver de Solveig » de Reine Andrieu aux éditions Preludes

    Flavie et les livres sur L'hiver de Solveig de Reine Andrieu

    Nous voilà plongé après guerre dans l'histoire d'une fillette amnésique et du policier qui l'a recueilli puis tour à tour nous serons emmené sur la fin de la guerre à travers Noémie, Armand, Günter ou Germain, mais également en 2011 avec Solveig.
    Une fiction sûrement proche de nombreuses...
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    Nous voilà plongé après guerre dans l'histoire d'une fillette amnésique et du policier qui l'a recueilli puis tour à tour nous serons emmené sur la fin de la guerre à travers Noémie, Armand, Günter ou Germain, mais également en 2011 avec Solveig.
    Une fiction sûrement proche de nombreuses réalités avec des personnages communs et humains.
    J'ai été touchée par ces morceaux de vie et ces histoires qu'on ne raconte pas.
    Une histoire sans héro, une histoire de vie.

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    Couverture du livre « L'hiver de Solveig » de Reine Andrieu aux éditions Preludes

    Sophie Gauthier sur L'hiver de Solveig de Reine Andrieu

    Merci, tout d'abord, aux éditions Préludes et à Babelio pour ce roman reçu dans le cadre d'une Masse critique privilégiée.

    En mai 1946, Justin, jeune gendarme dans un bourg du Sud-ouest, est chargé de retrouver la famille de celle qu'il nomme Angèle. Cette fillette a été découverte sur un...
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    Merci, tout d'abord, aux éditions Préludes et à Babelio pour ce roman reçu dans le cadre d'une Masse critique privilégiée.

    En mai 1946, Justin, jeune gendarme dans un bourg du Sud-ouest, est chargé de retrouver la famille de celle qu'il nomme Angèle. Cette fillette a été découverte sur un banc du village et demeure incapable d'expliquer comment elle est arrivée là. Amnésique, elle ne peut donner aucune informations sur sa famille, son identité, son adresse, ni sur les évènements qui l'ont conduite jusqu'ici. Il faudra du temps pour que Justin retrouve la trace des parents de l'enfant et pour qu'il reconstitue la tragédie qui a précédé son arrivée.

    Solveig, Angèle, Justin, Günter, Noémie, Armand, Germain, tour à tour, tous les protagonistes du drame prennent en charge la narration entre 1940 et 1946. En contrepoint, la Solveig de 2011 évoque son histoire, sa vie chamboulée par la guerre et sa lente reconstruction.

    Si j'ai lu "L'hiver de Solveig" sans véritable déplaisir, je n'y ai pas non plus trouvé matière à aimer. J'ai en particulier regretté que l'histoire soit affadie par une écriture sans relief, ni zone d'ombre, ainsi que par une construction qui m'a semblé artificielle. Les sept voix narratives, en effet, auraient pu correspondre à sept points de vue différents sur des situations identiques, mais s'il y a bien alternance de récits à la première personne, il n'y a pas, me semble-t-il, de points de vue divergents. Les personnages se relaient pour raconter l'histoire qui, par conséquent, ne donne lieu qu'à une seule interprétation sans ambiguïté. De plus, l'écriture ne permet pas de différencier les personnages-narrateurs. Que ce soit la petite fille amnésique, le docteur Armand, la dame de 75 ans ou le jardinier, tous s'exprime de la même manière. Pour moi, le choix d'une forme polyphonique ne se justifie donc pas.

    Le cadre historique (l'occupation allemande et l'immédiat après-guerre) et ce que l'on en connaît aujourd'hui par les multiples documents, oeuvres et témoignages conduisent l'intrigue à la limite de la vraisemblance si bien que je ne suis pas parvenue à "y croire".

    Ce commentaire ne reflète que mon avis et sans doute ne suis-je pas la lectrice idéale pour apprécier ce roman, lauréat du prix Kobo by Fnac 2020. Nul doute que d'autres sauront davantage l'apprécier.

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    Couverture du livre « L'hiver de Solveig » de Reine Andrieu aux éditions Preludes

    Chantal YVENOU sur L'hiver de Solveig de Reine Andrieu

    La découverte d’une petite fille amnésique met en émoi la gendarmerie de Bournelin. Elle est âgée d’une dizaine d’année. On est en mai 1946, et rien n’explique sa soudaine apparition dans la petite ville : aucune disparition d’enfant n’est signalée.

    A cinquante kilomètres de là, après la...
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    La découverte d’une petite fille amnésique met en émoi la gendarmerie de Bournelin. Elle est âgée d’une dizaine d’année. On est en mai 1946, et rien n’explique sa soudaine apparition dans la petite ville : aucune disparition d’enfant n’est signalée.

    A cinquante kilomètres de là, après la signature de l’Armistice en 1940, la famille Lenoir a dû céder aux injonctions de l’occupant et héberger un sous-officier allemand dans le manoir qui sert aussi de lieu d’exercice au Dr Lenoir. Cohabitation complexe.
    Les événements se succèderont au rythme de l’évolution historique que l’on connaît.
    Enfin on découvre les confidences d’une libraire toulousaine, Solweig, qui tente de ne pas se laisser déborder par son passé que l’on pressent lourd de blessures enfouies.

    C’est donc peu à peu que l’histoire se construit, en comblant les inconnues de ce puzzle à dimension temporelle. Il est cependant facile de s’y retrouver et les voyages dans le temps ne sont pas de nature à brouiller les repères de la lecture.

    L’écriture est sobre et se tient au déroulé des faits, sans jugement moral ou développement théorisant. Les dialogues tiennent compte de la personnalité et de l’histoire de ceux qui les disent. C’est donc un réel plaisir de tourner les pages, avec ce qu’il faut de suspens pour que la vigilance ne s’éteigne pas.
    On imagine sans peine cette histoire sur grand écran.

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