Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
En tout point d'accord avec l'avis précédent de Bulle Noire !
Et effectivement, quel cliff hanger !? J'en frissonne.
Il me faut vite ce tome 8. Ah mince, ... Faire un album, ça prend du temps ?! Pas de date annoncée encore.
Quoi qu'il en soit, les dessins de Ralph Meyer sont comme toujours super efficaces, et les couleurs de Caroline Delabie ajoutent la tension nécessaire au récit de Xavier Dorisson. Récit qui me semble plus inspiré et plus réfléchi que pour le précédent dyptique. Une belle relance de la série.
Tout part d'une lettre reçue. Jonas Crow s'empresse de filer vers Eaden City, Texas, une bague en poche, croyant répondre à l'appel de celle qu'il aime, Rose Prairie, qu'il croyait avoir définitivement perdue.
C'est le retour de l'ancien tireur d'élite de la guerre de Sécession. Celui qui sillonne désormais les chemins avec son corbeau Jed et son corbillard poursuit sa quête d'amour personnifiée par une certaine Rose Prairie. Le voilà embourbé au Texas, en prise avec une certaine Sister Oz, de la ligue de lutte contre le vice...
Fanatisme religieux, avortement, homosexualité, Xavier Dorison aborde à nouveau des thèmes très modernes autour de ce héros complexe, cynique, à la fois emblématique des héros de l'ouest américain et en même temps hors du commun.
Le travail d'orfèvre de Ralph Meyer ne surprendra personne. C'est beau, précis, Crow est sombre à souhait et il faut souligner le superbe travail des couleurs de Caroline Delabie.
Incontournable série western de ces dernières années, Undertaker s'appuie sur des récits modernes, un dessin redoutable et un héros attachant. Ce tome 7 qui finit sur un puissant cliffhanger est plus qu'à la hauteur !
Des pochettes de disque au roman illustré… Ralph Meyer et Eddy Mitchell voulait à nouveau travailler ensemble. L’idée d’illustrer « P’tit Claude » le roman écrit par le chanteur paru en 1997 a germé.
Souhaitant préserver l’écriture d’Eddy Mitchell, Claude Moine de son vrai nom, Ralph Meyer réalise 25 illustrations pour accompagner une partie choisie du récit.
Nous voilà plongés avec P’tit Claude dans le Paris des années 50. Tout y est, les images et les odeurs. L’ado s’ennuie en ce mois de septembre, entre séances dans les cinés de quartier, balade dans les rues animées… L’argent manque et P’tit Claude a des rêves de grand. Et si le coup fourré proposé par Pépé était la solution ?
Eddy Mitchell mêle souvenirs et fiction pour raconter son adolescence. L’écriture est très visuelle et les aquarelles réhaussées de gouache de Ralph Meyer l’ accompagnent à merveille. Ce Paris, que le dessinateur connait bien lui aussi, prend vie sous nos yeux dans des pages ou double-pages entières aux couleurs très bien choisies.
Même si on comprend sa volonté de garder le style original, on regretterait presque que Ralph Meyer n’ait pas choisi l’option BD pour adapter cette histoire. Un très beau livre qui pourrait en appeler d’autres…
Un peu moins convaincu par ce premier album en terre indienne. Peut-être l'absence de Rose et de Lin, de leur complicité avec Jonas...
Je ne suis pas rentré dans l'histoire, mais je lirai quand même le tome 6 pour me défaire de cette petite déception.
Salvaje a un caractère dur, qui la laisse un peu à distance de nous. Le prochain album portant son nom, on peut espérer un peu plus de sensibilité à son égard ?
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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