Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Pierre Gallissaires

Pierre Gallissaires

La biographie de cet auteur n'est pas encore disponible, connectez-vous pour proposez la vôtre :

/1200

Merci d’utiliser une photo au format portrait en indiquant les copyrights éventuels si elle n’est pas libre de droits.

Nous nous réservons le droit de refuser toute biographie qui contreviendrait aux règles énoncées ci-dessus et à celles du site.

Les textes à caractère commercial ou publicitaire ne sont pas autorisés.

Avis sur cet auteur (1)

  • add_box
    Couverture du livre « Gerda taro » de Pierre Gallissaires aux éditions Rocher

    Galirad sur Gerda taro de Pierre Gallissaires

    Gerta Pohorylle, de son nom public Gerda Taro, a eu une carrière de photographe bien courte. Morte, à vingt-sept ans à peine, écrasée sous les chenilles d’un char en pleine guerre civile espagnole, elle n’a guère eu le temps de laisser beaucoup de souvenirs derrière elle. Les rares initiés qui...
    Voir plus

    Gerta Pohorylle, de son nom public Gerda Taro, a eu une carrière de photographe bien courte. Morte, à vingt-sept ans à peine, écrasée sous les chenilles d’un char en pleine guerre civile espagnole, elle n’a guère eu le temps de laisser beaucoup de souvenirs derrière elle. Les rares initiés qui l’ont approchée, elle, et le peu de documents ayant pu être conservés la concernant clament au génie, haut et fort.
    Irme Schaber a effectué un véritable travail de fourmi pour présenter au public un livre digne de ce nom.
    Le résultat est plus qu’honorable même si contrairement à ce qu’elle avance, il n’est pas certain que cette mort prématurée ait arraché la belle reporter à une gloire annoncée. Notons que dès août 1937, son image fut immédiatement utilisée pour incarner à la fois la lutte anti-fasciste en Allemagne et l’image martyre du parti communiste en France. La récupération politique est plus que marquée !
    L’autre point qui me paraît indispensable à signaler est que les interprétations qui ont été faites suite à sa liaison avec André Friedman, également photographe habile, et répondant au surnom de Robert Capa.
    Il est indéniable que le travail de l’un ait nourri le travail de l’autre. Mais de là, à affirmer comme le fait notre auteur, que c’est Gerda qui fabriqua Capa ou à contrario comme Hemingway qui ne vit en elle que la femme fatale tournant la tête de son ami hongrois, l’interprétation n’est pas loin.
    Sur ce genre d’annonce, la crédibilité et l’impartialité de l’historienne bas de l’aile.
    Si le sujet est intéressant, il ne me semble, cependant, pas assez fédérateur et par conséquent ne devrait malheureusement pas toucher une frange féminine suffisamment importante et lui assurer une large diffusion.

Bibliographie de Pierre Gallissaires (1)

Ils ont lu cet auteur

Discussions autour de cet auteur

Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur

Soyez le premier à en lancer une !