Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Vincent et Sam. Plus que des amis, des frères. Ils ne se sont pas vus depuis que Sam est parti aux Fidji. Et quand il redébarque sans prévenir, il entraîne Vincent dans un road trip vers Biarritz, la ville de leur enfance. Sauf que depuis un an, la vie de Vincent a changé. Leur voyage de retrouvailles va vite dérailler, et se transformer en règlement de compte. Entre eux, mais aussi avec la vie.
Un road trip en compagnie de deux frères de sang, l'un qui reste un vrai ados et l'autre qui est adulte. Deux caractères qui s'opposes, un Thelma et Louise masculin, des graphismes d'une grande qualités. Drame, amitié, humours, ballade, introspection, regrets et souvenirs.
Une oeuvre qui nous met une gifle, un dur apprentissage de la vie, intelligent et réussi, une pépite.
Vincent est sur le point d'acheter son premier appartement à Paris avec Lucie. Mais le soir même, après une virée au bar, Vincent explose et jette une bouteille sur une voiture de police. Direction le poste où son dossier déjà conséquent s'alourdit... Le lendemain, c'est son ami Sam qui surgit, de retour des Fidji avec une proposition: un road-trip jusqu'à Biarritz, la ville de leur enfance. Comme avant.
Le scénariste Jean-Luc Cano s'éloigne de la dark fantasy (La série Elric chez Glénat) avec ce récit à priori déjà vu entre deux amis qui se retrouvent pour une dernière incartade, un retour dans le passé pour retrouver l'insouciance de leurs vingt ans. La narration laisse des indices mais la fin surprenante scotche le lecteur, même averti, et apporte une touche émotionnelle particulièrement réussie.
Le dessinateur Pierre-Denis Goux réalise lui aussi un pas de côté. Loin des univers fantasy de Nains ou Mjöllnir (éditions Soleil), il propose un dessin assez réaliste et dynamique en variant les tailles de cases et les cadrages. Il faut noter les couleurs très réussies de Iuliia Leonidovna Pinchuk.
Il faudra attendre les dernières pages de cet album à la couv digne d'un long métrage pour bien comprendre le propos .... les épreuves à surmonter, la paix à trouver pour avancer, parvenir à tourner les pages qui pèsent lourd... Fidji est une lecture qui finit par faire mouche !
Lien de mon avis sur le blog : https://les-livres-de-nancy.blogspot.com/2022/10/nains-tome-1-redwin-de-la-forge-nicolas.html
Je remercie tout d'abord Babelio et les éditions Soleil pour ce service-presse.
Ce passant dans le même univers, j'avais lu le premier tome de la saga "Mages" dont vous pouvez retrouver mon avis ICI, du coup, j'étais assez curieuse de découvrir la saga "Nains".
Nous sommes dans le Village de Boronn. Ulrog est l'un des nains les plus doués de l'ordre de la Forge et il enseigne à son fils, Redwin, l'art de forger des outils. Mais forts de ses convictions pacifistes, il refuse d'apprendre à son fils à forger des armes. Redwin est du coup considéré comme le fils d'un lâche et il est la risée des autres nains. Redwin, souhaitant forger des armes et devenir Seigneur des runes, se construit une forge, avec l'aide d'Enïme et en secret, il tente de forger une arme puissante, mais c'est un échec.
Un soir, il reçoit dans sa forge la visite de son oncle Jarsen. Ce dernier se propose de lui apprendre le combat et à forger...
Mais dans les arènes, il va ressentir la haine, la violence et se perdre lui-même...
Ce premier tome peut tout à fait se lire comme un one-shot, ce qui est vraiment agréable vu le nombre de tomes qu'il y en a.
Personnellement, j'ai préféré le premier tome de "Mages". L'intrigue est intéressante et très facile à suivre. Ce tome est par contre assez sombre, violent et sanglant.
Je n'ai pas du tout réussi à m'attacher à Redwin tant, il a de la colère en lui qui se transforme au fil des pages en haine. Je l'ai trouvé détestable, mais je n'ai pas pu m'empêcher d'espérer qu'il se réveille enfin. Heureusement qu'il y a Enïme qui apporte un peu de douceur à cette histoire.
Niveau illustrations, elles sont superbes et très bien coloriser. Il y a plein de détails, on arrive bien à suivre l'action et le sang rougit certaines cases. J'ai également apprécié le carnet graphique à la fin de l'histoire qui nous fait découvrir les autres ordres.
En bref, un bon premier tome qui peut se lire comme un one-shot. Un tome assez violent et sanglant, mais avec une intrigue intéressante.
Un univers fantasy, un peu comme les sagas Elfes, Nains…, dans lequel des inquisiteurs sont les enquêteurs pour lesquels tout leur est permis pour arriver à mener la justice. Ce qui forcément dans un monde violent, fait d’un certain inquisiteur, Obeyron, un homme violent qui use de la violence et de son intelligence pour mener la justice. Mais Obeyron gêne. Ses ennemis fomentent et le laisse pour mort dans une forêt sombre. Plusieurs années après, il revient et enquête. Il va retrouver ses meurtriers.
Avec un scénario assez bien mené malgré tout, merci la magie qui permet de se sortir des impasses, le personnage est plutôt bien dépeint. Nous en arrivons même à ne pas l’aimer tellement il est obsédé par son travail.
Avec des graphismes magnifique, des personnages détaillées, et des monstres effrayants, cette série qui commence ici a de beaux jours devant elle, mais personnellement, je vais me contenter de ce premier tome. Le personnage ne m’a pas plu et je ne vais pas investir dans une série qui débute sur un personnage qui me rebute.
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