"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Un tome 4 palpitant, Sharp, chef des ISS devra till obéir a sa hiérarchie ou sauver ses hommes ? Ce tome est vraiment réussi en comparaison des deux précédents. Complots, Trahison; Horreur et Survival.
Action et Twist plot. Une bonne évolution de cette série que j'ai faillit d'abandonner.
Un univers fantasy, un peu comme les sagas Elfes, Nains…, dans lequel des inquisiteurs sont les enquêteurs pour lesquels tout leur est permis pour arriver à mener la justice. Ce qui forcément dans un monde violent, fait d’un certain inquisiteur, Obeyron, un homme violent qui use de la violence et de son intelligence pour mener la justice. Mais Obeyron gêne. Ses ennemis fomentent et le laisse pour mort dans une forêt sombre. Plusieurs années après, il revient et enquête. Il va retrouver ses meurtriers.
Avec un scénario assez bien mené malgré tout, merci la magie qui permet de se sortir des impasses, le personnage est plutôt bien dépeint. Nous en arrivons même à ne pas l’aimer tellement il est obsédé par son travail.
Avec des graphismes magnifique, des personnages détaillées, et des monstres effrayants, cette série qui commence ici a de beaux jours devant elle, mais personnellement, je vais me contenter de ce premier tome. Le personnage ne m’a pas plu et je ne vais pas investir dans une série qui débute sur un personnage qui me rebute.
Nouveau tome, nouvelle histoire. Nous sommes aux côtés de Fall, chasseur de dragon. Sa quête, un dragon blanc qui se meurt. Le récit se fait d’une traque, accompagné d’un humain. Mais Fall est un elfe adopté. Pourquoi ? Alors que ce peuple se pense supérieur, il tend à disparaître, comme le dragon que le traqueur tente de capturer. La morale de cet album est vraiment intéressante, le récit a un dénouement perturbant. L’histoire est bien travaillée pour arriver sur un final qui s’apprécie pour sa violence psychologique. J’ai beaucoup aimé cet album et une nouvelle fois, le travail sur ce peuple est toujours intéressant à lire.
Graphiquement, je reste sur le graphisme du premier album, même si celui-ci est bien réalisé. C’est aussi un avantage de se renouveler autant à chaque fois.
En somme, très bon album, un récit époustouflant.
Pour ceux qui suivent un peu Facebook, vous avez dû voir il y a quelques temps de cela un participatif ulule sur un roman magnifique tant dans sa conception que ses illustrations. C'est ce roman que nous retrouvons ici grâce aux Editions Michel Lafon.
Avant même de le débuter je n'ai pu m'empêcher de le feuilleter. Autant la couverture est belle, autant l'intérieur est un album de rêves extraordinaires tantôt féeriques tantôt cauchemardesques.
Comment exprimer en quelques mots le voyage que je viens de faire en quelques heures?
Magique? Trop usité, cela gâcherait le potentiel dépaysant et surtout fortement éblouissant de l'univers crée par d'Olivier Peru.
Coloré? Trop fade pour exprimer les nuances de gris des nuages jamais absents et des couleurs des bâtiments plein de vie et de créatures en tous genres comme ce vifbyrd doré brillant comme un sou neuf.
Dynamique? C'est simplifié au possible les scènes d'action, de poursuite, de découverte de nos deux journalystes à la recherche du scoop.
Ce roman recentre à lui tout seul l'émerveillement de l'innocence, la turpitude de la trahison, l'éclat éblouissant d'une amitié naissante face aux épreuves, et surtout, met en avant de façon quasi obsessionnelle une qualité digne des meilleurs : la curiosité.
Ici elle encourage nos héros à partir à l'aventure. Elle les séduit face aux mystères à découvrir. Elle les pousse à avancer lorsque la peur aurait pu les stopper. Elle est le carburant de nos héros face aux rebondissements qu’ils vont croiser. Elle est leur meilleur atout et leur pire ennemi. Je dirais donc qu'elle est à elle seule l'Héroïne incontestée de ce roman.
Aidée en cela par une plume déliée et pleine d'émotions, des personnages attendrissants ou ronchons, un scénario qui nous mène toujours plus loin, plus profond dans l'Ouvremonde. A la recherche des origines de tout. De réponses aussi tout simplement.
Darryl Ryan est un jeune garçon d'une dizaine d'année. Il vit à Montréal avec son frère aîné Sam, depuis la mort de leurs parents.
Darryl est un adolescent particulier. Il peut déceler les Glyphes, ces marques phosphorescentes qui permettent de passer d'un monde à l'autre. Et particulièrement du monde gris qui est le nôtre à l'Ouvremonde.
Ah Ouvremonde, univers empli de merveilleux, de créatures toutes plus surprenantes les unes que les autres et d'une espèce bien particulière : le journalyste.
Non, non, il n'y a pas de fautes. Vous verrez que suivre l'Ouvremonde vous fait parfois mal aux yeux face à l'écriture de certains termes et aux paroles de certains personnages. Mais c'est aussi ce qui fait le charme de cet univers, cela et le mystère qui va se présenter à notre jeune ami, son complice Ocelot et son mentor journalyste Tortup. Un mystère sombre et déroutant qui va les mener bien loin. Vers des secrets et des ennemis forts dangereux et à la réputation hélas jamais usurpée. Vous comprendrez aussi au fil des pages le pourquoi de cette lettre Y si présente en ce monde particulier.
En parallèle nous allons aussi suivre l'histoire d'un autre jeune ado. Il s'appelle Dean Mason. Il vit à Salem, la ville si célèbre pour ces procès de sorcières au 17e siècle. Parfois ses rêves lui montrent Darryl. Parfois ses pas le mènent vers de sombres secrets qui pourraient fort bien l'amener à faire de ses rêves une réalité. A son côté une complice. Une jeune femme sensible au surnaturel et courageuse.
Trois ados curieux, courageux et qui se sont fixés chacun en ce qui le concerne une mission.
Trois ados qui vont nous mener dans des contrées inexploitées de nos rêves et de nos cauchemars. Dans une aventure périlleuse et cependant tellement enthousiasmante que vous aurez du mal à lâcher ce roman malgré ses 568 pages.
D'ailleurs sur ce dernier point un conseil. Faites un peu de musculation avant de le lire, car il est magnifique, vous emporte sur presque 600 pages et ... pèse le poids d’un âne mort pour le lire à bout de bras. Mais quel bonheur de se coller des crampes quand il s'agit de la plume d'Oliver Peru et des aventures de Darryl et Dean.
Elle est aussi ce qui mène le lecteur par le bout du nez et vous conduira je l’espère tout comme moi au coup de cœur.
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