Olivier Desvaux

Après un bac Littéraire option Arts plastiques, Olivier Desvaux entre à l'école Estienne à Paris pour une année de mise à niveau en Arts appliqués. Il finit ses études aux Arts déco de Paris et en sort diplômé en 2006 avec la spécialité «illustration». Il participe aux collectifs BD de Petit à Petit, réalise des illustrations pour divers éditeurs et publie son premier album jeunesse chez Gautier Languereau : «Le bonheur est dans le pré». «Il voulait qu'on l'appelle Guignol» est son second album.

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Couverture du livre « L'homme qui plantait des arbres » de Jean Giono et Olivier Desvaux aux éditions Gallimard-jeunesse

Isa Pouteau sur L'homme qui plantait des arbres de Jean Giono - Olivier Desvaux

Je ne regrette pas d'avoir attendu la fin de cette jolie nouvelle pour découvrir la quatrième de couverture.

Car il faut avoir lu ce court récit de Jean Giono pour apprécier sa réponse à ses détracteurs et laissé le temps à notre imagination de rechercher dans notre mémoire l’image que ces lieux désertés nous inspire.

J’ai trouvé ce berger planteur d’arbres admirable et l’on comprend, en quelques pages, à quel point les arbres sont sources de vie, notamment dans ces montagnes arides du Sud de la France.

Et peu importent les quelques divagations botaniques de cet immense auteur, seul son propos compte.

S’il fallait se trouver un but dans la vie, et bien pourquoi pas celui-là.

Giono nous offre, avec ce roman, une belle leçon d’écologie dont il faut se souvenir en cette période où il y a tant d'arbres coupés partout dans le monde.

Alors en ce jour de Noël, faites un petit cadeau à la Nature, offrez-lui un arbre, elle en a bien besoin.

Fanny C. sur L'homme qui plantait des arbres de Jean Giono - Olivier Desvaux

Un beau récit écologique d'avant -garde écrit en 1953 par Jean Gioni illustré par les peintures à l'huile d'Olivier Desvaux pour l'édition Gallimard de 2018.
Le narrateur , un jeune homme, rencontre sur les hauts plateaux arides et désolés de Haute -Provence ,un berger solitaire qui lui offre l'hospitalité.L'homme trie des glands puis les met en terre. Il a entrepris de reboiser le plateau et fera pousser des milliers de chênes ,des bouleaux et des hêtres plus tard.L'humble berger est un humaniste , animé par un savoir ancestral , un philosophe détaché des contraintes matérielles habituelles , un sage .Dans ce pays devenu moins hostile, la vie renaît, il y a de l'eau, des fermes.
Giono signe là un texte puissant, une fable visionnaire.