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Mathias Ollivier

Mathias Ollivier
Mathias Ollivier est né à Liège de père Belge - de père Belge peintre - et de mère Française - commerçante. (Ses cinq oncles et tantes sont tous musiciens). Son père est prisonnier en Allemagne durant la guerre et sa mère Résistante, décorée de « l'armée secrète » accompagne le Général Patton dur... Voir plus
Mathias Ollivier est né à Liège de père Belge - de père Belge peintre - et de mère Française - commerçante. (Ses cinq oncles et tantes sont tous musiciens). Son père est prisonnier en Allemagne durant la guerre et sa mère Résistante, décorée de « l'armée secrète » accompagne le Général Patton durant la bataille des Ardennes pour libérer les déportés des camps de concentration nazi. Il poursuit ses études à Liège et souhaite devenir archéologue, mais les difficultés familiales le contraignent à travailler dans la Restauration. Il se cultive en autodidacte et se passionne pour l'histoire des civilisations, archéologie et les religions. Il opte pour la nationalité française et quitte la Belgique à l'âge de dix-sept ans pour naviguer comme steward sur les cargos. Ses pérégrinations à travers le monde paysan, ouvrier, commerçant, puis à travers le show business, les médias... Ses voyages autour du monde ont fait de lui un observateur attentif de la société. C'est sans doute pourquoi ses ouvrages dépeignent la comédie humaine et donnent quelque peu dans la sociologie. Avant de devenir écrivain, Mathias Ollivier se fit la plume comme auteur de chansons. Il en écrivit des centaines, dont plusieurs furent des succès. Ses derniers enregistrements datent de septembre 2020. En 1970, Amoureux de la France depuis toujours, il arrive à Paris où il fréquente assidument le "Club des Poètes" ; puis il débute au théâtre, (TNP / Chatelet / La Porte St. Martin) puis dans la chanson. Il enregistre ses premiers disques en 1970 et joue dans "Hair" - "Jésus-Christ-Superstar" - "Double V". C'est à cette période également qu'il tient la scène de l'Olympia. La plupart des journalistes qui l'ont vu sur scène, l'ont décrit comme un « acteur de chanson »... Entre 1970 et 2000 : Mathias a enregistre 18 vinyles - 4 CD albums - 2.000.000 disques vendus. En 1995 il fait un mariage heureux. En 1997 suite à un viol qu'elle avait subit dans son adolescence, son épouse se suicide ; désormais « monoparental » Mathias consacre son énergie à l'éducation de sa fille et doit remettre à plus tard son comme back. Il fait alors une traversée du désert pendant laquelle il se prépare à une carrière littéraire. (Art-Access) Un critique littéraire a dit de lui : De l'auteur, on peut se demander s'il n'est pas l'iconoclaste génial que tout le monde attend ou le visionnaire le plus frémissant qui soit. En tous cas il maîtrise aussi bien la biographie déchirante, brûlante et passionnée, que les concepts initiatiques, sans jamais renier la tradition du roman populaire. (J.M TAULET) Profile de Mathias Ollivier par Art-Access communication : Mathias Ollivier est connu du grand public et des médias. Comme l'on souligné certains journalistes, il est un de nos grands auteurs contemporain à découvrir. Il est un des rares artistes à avoir eu le courage de refuser de se laisser formater par le « show biz », pour préserver son authenticité et rester libre artistiquement. Iconoclaste, intemporel, poétique, « pas au format » et populaire. Il reste un inclassable dans ce métier où il navigue à contre courant. Son parcours accidenté est essentiellement un combat contre la conformité à la norme. » Mathias Ollivier, c'est un style très personnel que l'on reconnait à son humour caustique via l'emploi de néologismes et de métaphores qui interpellent. Avant d'en venir à la littérature, il fit carrière dans la chanson. Il en écrivit des centaines. Cela explique le rythme de ses phrases et la manière dont il passe les mots à la centrifugeuse. Les jeunes lecteurs et lectrices sont par conséquent très réceptifs à son écriture. Cet auteur bien qu'il provoque parfois certaines sensibilités, éprouve un amour débordant pour l'humanité. Dans son nouveau roman : « On se retrouve toujours au Luxembourg » sa vision de l'amour, dans un style qui claque. Son humour décapant, devrait dérider lecteurs et lectrices. Tantôt cru, tantôt poétique il casse les codes de la bien pensance et donne du style au récit. Parfois présenté comme iconoclaste patenté, il est plutôt un « éveilleur » qui donne du grain à moudre. Roman cash et turbulent certes mais émouvant. Les lectrices en attente d'un happy end ne seront pas déçues, puisqu'il s'agit d'amours. Et bien plus encore d'Amour. (Art-Access). (Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de l'auteur : < https://www.mathiasollivier.fr > TITRES PARUS : Ma maison de Vie - 1998 - Editions du Prieuré La Nulture - 2005 - Editions le Manuscrit Le Merblex - 2007 - Editions Demeter Pas au format - 2008 - Editions le Manuscrit Dominique nique nique - 2009 - Editions du Compas L'Ere Deophile - Sept 2010 - Editions Art-Access Les Messes Basses de Nicolas Flamel - Editions Art-Access Le Merblex - ré édition 2012- Editions Art-Access L'amour a cappella - 2015 - Editions Art-Access 1985 - Dystopie - 2018 - Editions Art-Access.

Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « 1985 ; ad perpetua memoria mundi » de Mathias Ollivier aux éditions Art-access

    Marie Kacher sur 1985 ; ad perpetua memoria mundi de Mathias Ollivier

    Je n’abandonne qu’extrêmement rarement une lecture, mais très honnêtement, au bout d’une cinquantaine de pages, je savais déjà pertinemment que je ne tirerai rien de bon de ce roman. Le résumé était pourtant fort prometteur, je m’attendais vraiment à découvrir un monde contre-utopique qui allait...
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    Je n’abandonne qu’extrêmement rarement une lecture, mais très honnêtement, au bout d’une cinquantaine de pages, je savais déjà pertinemment que je ne tirerai rien de bon de ce roman. Le résumé était pourtant fort prometteur, je m’attendais vraiment à découvrir un monde contre-utopique qui allait me faire réfléchir sur notre monde, notre mode de vie, notre futur … Mais je n’ai trouvé rien de tout cela dans ce début de roman.

    Non, je n’ai trouvé qu’une narration tout simplement incompréhensible, bourré d’accent et de jargon flamanco-suisso-parisien : un charabia complet auquel je ne comprends pas grand-chose, et le peu que j’en comprends me met horriblement mal à l’aise tant c’est vulgaire et érotique, grossier et salace. Pour tout vous dire, je n’ai même pas réussi à comprendre où était censé se dérouler l’intrigue, tant c’est emberlificoté !

    Le ton se veut visiblement ironique, cynique, sarcastique, mais il ne parvient qu’à être si lourdaud que j’ai fini par survoler allégrement certaines pages en espérant trouver mieux ensuite. Sans grand succès, vous l’aurez bien deviné, vu que la simple idée de reprendre ma lecture me donne envie de pleurer, tant cela m’apparait comme un calvaire littéraire. A vouloir pousser l’absurde à son paroxysme, l’auteur a fini par me dégouter …