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Je n’abandonne qu’extrêmement rarement une lecture, mais très honnêtement, au bout d’une cinquantaine de pages, je savais déjà pertinemment que je ne tirerai rien de bon de ce roman. Le résumé était pourtant fort prometteur, je m’attendais vraiment à découvrir un monde contre-utopique qui allait me faire réfléchir sur notre monde, notre mode de vie, notre futur … Mais je n’ai trouvé rien de tout cela dans ce début de roman.
Non, je n’ai trouvé qu’une narration tout simplement incompréhensible, bourré d’accent et de jargon flamanco-suisso-parisien : un charabia complet auquel je ne comprends pas grand-chose, et le peu que j’en comprends me met horriblement mal à l’aise tant c’est vulgaire et érotique, grossier et salace. Pour tout vous dire, je n’ai même pas réussi à comprendre où était censé se dérouler l’intrigue, tant c’est emberlificoté !
Le ton se veut visiblement ironique, cynique, sarcastique, mais il ne parvient qu’à être si lourdaud que j’ai fini par survoler allégrement certaines pages en espérant trouver mieux ensuite. Sans grand succès, vous l’aurez bien deviné, vu que la simple idée de reprendre ma lecture me donne envie de pleurer, tant cela m’apparait comme un calvaire littéraire. A vouloir pousser l’absurde à son paroxysme, l’auteur a fini par me dégouter …
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