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Marion Poirson

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    Couverture du livre « Ma fille, ne t'en va pas » de Marion Poirson aux éditions Chevre Feuille Etoilee

    Dolce sur Ma fille, ne t'en va pas de Marion Poirson

    Une femme dont la fille vient de partir en Syrie pour faire le Djihad raconte sa vie en s'imaginant que si sa fille avait su tout cela peut-être ne serait-elle pas partie...
    J'avoue que je suis resté sur ma faim et un peu frustré en terminant ce livre. Tout d'abord j'étais un peu décontenancé:...
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    Une femme dont la fille vient de partir en Syrie pour faire le Djihad raconte sa vie en s'imaginant que si sa fille avait su tout cela peut-être ne serait-elle pas partie...
    J'avoue que je suis resté sur ma faim et un peu frustré en terminant ce livre. Tout d'abord j'étais un peu décontenancé: la narratrice est sensée être illettrée mais son phrasé est très bon et son vocabulaire assez riche. Ce contraste fait perdre un peu de crédibilité au personnage.
    Ensuite, et là je veux bien mettre cette déception à mon actif, ce livre ne parle pas, selon moi, du Djihad, comme évoqué sur mon site web préféré ;-).
    Le Djihad est une toile de fonds, un prétexte, pour parler de la vie misérable de la narratrice de son enfance d'esclave au Maroc à son arrivée sur le sol français en passant par son mariage forcé. Faire la fin du livre il est vrai que l'héroïne parle de quelques intégristes qu'elle connaît. Il est vrai aussi qu'elle s'interroge sur le fait que si elle avait raconté sa vie de misère à sa fille peut-être tout cela ne serait pas arrivé. Argument un peu réducteur: de "bons petits français" ont eux-mêmes été tentés par aller faire la guerre en Syrie. Le mal est certainement ailleurs... et sans doute plus profond que cela.
    Quand à l'histoire c'est une suite de drames personnels dont je ne doute pas que cela arrive dans certains pays mais je ne l'ai lu que comme une histoire avec sa suite presque chronologique. Pas comme un roman. Creuser les raisons profondes qui poussent une jeune fille à aller faire une guerre qu'elle ne comprend même pas, ça cela m'aurait intéressé. Ce n'était sans doute pas l'objectif de l'auteur. Mais, pour le coup, j'ai eu le sentiment que cela retombait dans quelque chose d'assez classique. Si je fais une comparaison, le livre de Néhémy Pierre-Dahomey, "Rapatriés", lu il y a quelques jours lui aussi sur fonds de misère haïtienne donnait plus de force et de caractère à ses personnages sans tomber dans le misérabilisme. C'est peut-être ce qu'il m'a manqué avec "Ma fille ne t'en va pas".

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