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Jouteur

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    Couverture du livre « Cahiers d'un chevrier qui venait de la ville » de Jouteur aux éditions Jean-benjamin Jouteur

    yves MONTMARTIN sur Cahiers d'un chevrier qui venait de la ville de Jouteur

    Jean Benjamin Jouteur avec un talent de conteur certain nous délivre quelques anecdotes qui mettent en scène des personnages, des animaux, des bâtisses, des paysages, des nouvelles toutes simples composés de gens modestes, qui aime la terre et aussi un peu trop le vin. Des hommes et des femmes...
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    Jean Benjamin Jouteur avec un talent de conteur certain nous délivre quelques anecdotes qui mettent en scène des personnages, des animaux, des bâtisses, des paysages, des nouvelles toutes simples composés de gens modestes, qui aime la terre et aussi un peu trop le vin. Des hommes et des femmes qui « savent » les gens.
    Tout commence dans un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, une période d’insouciance, où les copains passent et repassent, squattent les chambres ou la grange, on boit, on fume quelques pétards en écoutant ses cheveux pousser. Tout commence quand Jean Benjamin Jouteur se lance avec toute son inexpérience dans le métier de chevrier. Il va nous faire partager ses rencontres, ses rêves, ses emmerdes.
    L’auteur a la malice de commencer son livre par la nouvelle sans aucun doute la plus aboutie « La masure de l’Antoine » en parcourant ces lignes j’ai retrouvé l’âme de Pagnol, d’Yvan Audouard, de Jean Giono. La poésie, la tendresse, l’humour, la beauté de la nature.
    Même quand il vagabonde à l’époque des hommes des cavernes et du temps des chasses utiles ou dans un futur où les fruits et légumes ont disparu faute d’une terre nourricière, Jean Benjamin Jouteur réussit à nous surprendre.
    C’est un roman de la terre, où l’auteur n’élude pas les problèmes des exploitations qui se meurent faute de repreneurs ou étranglées par les banquiers qui recherchent le profit avant tout.
    J’ai beaucoup apprécié la table des matières originale, elle est placée au début du livre et comme un amuse-bouche, elle nous ouvre l’appétit et nous donne envie de déguster la suite.
    Le seul reproche que j’adresserais à l’auteur c’est que certaines nouvelles sont un peu courtes, j’en aurais bien repris un p’tit peu.
    Les textes sont enrichis par de magnifiques photos en noir et blanc de Jacqueline Couturier, la rencontre de deux talents.
    Bien entendu, comme toujours, dans ce genre de livre, la qualité des nouvelles est un peu inégale, mais partez à la rencontre du Coignard, du Tapé, de l’Antoine, de Pâquerette, de Minouche, d’Angèle, venez respirer un grand bol d’air et d’humanité.

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