"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La vie d'un couple de huguenots, Elisabeth et Guillaume. Ils ont tout pour être heureux : l'amour, l'argent, une belle famille. Guillaume est négociant dans le domaine de la soie. Certains sont jaloux, dont le jeune berger Sanche, amoureux d'Elisabeth qui ne le connaît même pas. Il n'hésite pas à leur rendre la vie impossible, sans jamais se faire prendre : mort du cheval, incendie... L'exil devient alors une obligation. Dans le temps, Louis XIV prend les pleins pouvoirs et fait la chasse aux huguenots, rendant le travail presque impossible. La misère est très présente et engendre des révoltes et des grèves chez les canuts (bizarre puisque la révolte des Canuts a commencé en 1831 et au 17ème siècle, on parle plutôt à Lyon d'une certaine stabilité financière, le commerce battant son plein). Les malheurs continuent sur notre famille : perte d'une petite fille suite à un accident et ils sont à leur tour touchés par la peste. Elisabeth voue à son mari un amour sans relâche, le préférant même à ses propres enfants. Elle représente une personne froide et niaise à la fois.
J'ai trouvé certains passages inutiles, comme la correspondance de la marquise De Sévigné, qui nous permet certes de comprendre les intrigues de la Cour. L'auteur réussit même à assurer le lien avec nos héros : elle raconte par exemple les mésaventures d'un musicien qui n'a qu'un souhait, se venger du cousin d'Elisabeth. Fouquet et Colbert sont aussi très présents dans cette histoire. Bref, tout est mélangé dans cette histoire. A partir d'une famille, on a une vision globale de la situation de la France à cette époque. Cela m'a paru très long pendant la première moitié.
La vie d'un couple de huguenots, Elisabeth et Guillaume. Ils ont tout pour être heureux : l'amour, l'argent, une belle famille. Guillaume est négociant dans le domaine de la soie. Certains sont jaloux, dont le jeune berger Sanche, amoureux d'Elisabeth qui ne le connaît même pas. Il n'hésite pas à leur rendre la vie impossible, sans jamais se faire prendre : mort du cheval, incendie... L'exil devient alors une obligation. Dans le temps, Louis XIV prend les pleins pouvoirs et fait la chasse aux huguenots, rendant le travail presque impossible. La misère est très présente et engendre des révoltes et des grèves chez les canuts (bizarre puisque la révolte des Canuts a commencé en 1831 et au 17ème siècle, on parle plutôt à Lyon d'une certaine stabilité financière, le commerce battant son plein). Les malheurs continuent sur notre famille : perte d'une petite fille suite à un accident et ils sont à leur tour touchés par la peste. Elisabeth voue à son mari un amour sans relâche, le préférant même à ses propres enfants. Elle représente une personne froide et niaise à la fois.
J'ai trouvé certains passages inutiles, comme la correspondance de la marquise De Sévigné, qui nous permet certes de comprendre les intrigues de la Cour. L'auteur réussit même à assurer le lien avec nos héros : elle raconte par exemple les mésaventures d'un musicien qui n'a qu'un souhait, se venger du cousin d'Elisabeth. Fouquet et Colbert sont aussi très présents dans cette histoire. Bref, tout est mélangé dans cette histoire. A partir d'une famille, on a une vision globale de la situation de la France à cette époque. Cela m'a paru très long pendant la première moitié.
Mais pourquoi a-t-il tiré ? Pourquoi a-t-il tué ces deux hommes ? Le voilà bien, maintenant, avec deux cadavres, définitivement muets. Ils ne lui apprendront plus où se trouve Julien, son petit-fils, enlevé quelques jours auparavant. Elle commence bien, cette nouvelle année. Il faut vous dire que Lucien Perrain n’est pas un tendre : on ne survit pas aux camps de concentration sans s’endurcir. Si bien que le jeu de pistes pour parvenir à l’enfant sera rythmé de cadavres, de mauvaises rencontres et de souvenirs douloureux… A chacun ses fantômes et les vies seront bien gardées !
Un polar honnête, sans plus. A l’écriture alerte. Un bon délassement aux rebondissements parfois téléphonés (la fausse rançon, par exemple). Et bizarrement, la fin m’a malgré tout étonné.
La quatrième de couverture parlait de légèreté, de lutte contre les diktats du politiquement correct actuel en fait je n’ai trouvé qu’humour pesant et lourd. J’apprécie l’humour noir mais il m’a semblé caricatural et très vite inintéressant.
Je reconnais n’avoir lu qu’une partie de l’ouvrage, choisi les nouvelles qui me semblaient les plus susceptibles de correspondre à ce qui était annoncé. Ma déception persistante m’a conduite à abandonner ma lecture.
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