"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
J'ai acheté ce livre sur un salon car le titre m'a interpellé et la discussion avec l'auteur a été très plaisante
Le thème de ce livre m'intéresse et j'ai apprécié les informations sur les sociétés secrètes et les lieux présents dans ce livre.
J'ai découvert l'existence de l'église Saint Merri à Paris avec ses portes rouges et son Baphomet sur le fronton !!!
A l'occasion, j'irai la visiter pour voir si le détail sur le vitrail est bien présent
L'intrigue est bien menée et j'avoue que la fin n'est pas exactement celle à laquelle je m'attendais.
J'aime beaucoup la couverture de ce livre (Édition Haper Collins poche) et je dois avouer qu'elle a attiré beaucoup de regard dans les transports en commun.
J'espère que cela aura titillé la curiosité des voyageurs croisés
Je vous conseille ce livre si le diable ne vous fait pas peur !!!
Ce roman, un peu long -presque 400 pages- pourrait être un résumé de divers romans du genre. Tout au long de ma lecture, et notamment au début, le temps de faire connaissance avec les flics, les lieux et les meurtres, j'ai eu l'impression de relire un ou plusieurs romans. Comme si Jérémy Wulc avait puisé dans une base de données et avait pris des petits bouts ici et là pour construire son propre roman. Rien de bien original, sauf peut-être Stanislas Diamick, accro à la malbouffe -même s'il a tendance à se fournir chez Chérif, le meilleur Kebab de Paris- et aux sodas sucrés. Le pire est atteint avec ce passage, facilité qui m'agace, n'apporte rien voire alourdit le texte et que l'on trouve pourtant régulièrement dans des livres ou des séries :
"- Si on était dans un roman de Maxime Chattam, on aurait d'autres victimes dans les jours qui viennent.
- Ce qui est bien, c'est que nous sommes dans la vie réelle, pas dans un thriller..." (p.40)
Malgré tout cela, ce polar se lit avec plaisir grâce à l'arrivée pour ne pas dire l'irruption d'une enquêtrice, Justine, jeune flicque au caractère bien trempé qui va s'affirmer auprès des flics aguerris. Puis l'énigme s'épaissit pour eux comme pour nous et l'on se demande bien comment les enquêteurs vont parvenir à confondre le ou les tueurs et quelles sont les mobiles de ce(s) dernier(s).
L'enquête nous fera connaître davantage le monde des satanistes, mais aussi celui des loges maçonnes -rien à voir entre les deux, mais les deux pistes seront suivies- nous révèlera quelques secrets sur les monuments de Paris dont je ne sais s'ils sont réels ou fictifs. A vérifier sans doute.
Un polar qui se suit très agréablement malgré ses défauts, un peu comme une série télévisée, qui, s'il ne bouscule pas le genre, fait passer un bon moment, ce qui est déjà un atout indéniable et appréciable.
C’est avec plaisir et curiosité que j’ai découvert “Les loups-garous d’Argentine“, découvert au hasard des échanges sur Twitter grâce à un post de son auteur. Si je dois bien vous avouer que la Seconde Guerre Mondiale n’est pas du tout ma période historique préférée, force est de constater que l’originalité de l’intrigue a eu raison de mes éventuelles réticences à ce sujet !
Une intrigue d’autant plus originale que l’auteur cache ses noirs desseins avec un démarrage somme toute assez classique nous permettant d’abord de faire connaissance avec notre personnage principal pour le suivre sans rechigner à travers cette étonnante aventure… Etonnante voire même déconcertante : A l’instar de mes acolytes, je ne m’attendais pas du tout à la tournure que prendraient les évènements mais l’intrigue est particulièrement bien construite et rondement menée, dès lors j’ai tourné les pages sans voir le temps passer jusqu’à un dénouement… Sans doute prévisible mais inexorable.
Si je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages, c’est avec beaucoup d’intérêt que j’ai suivi chacun d’entre eux, à commencer par Arnaud. S’il manquait peut-être un peu d’étoffe de la même manière que l’ensemble de protagonistes, c’est sans doute parce que j’aurais aimé le suivre encore un peu, preuve s’il en est que je me suis volontiers laissée happer par ce récit servi par une plume sans doute un peu faible dans les premières pages mais plutôt fluide et efficace, un style simple et entraînant pour une lecture aisée et inattendue, plutôt plaisante et intéressante.
(Chronique complète : https://deslivresetmoi7.fr/2021/07/lecture-commune-les-loups-garous-dargentine-de-jeremy-wulc.html)
Un roman qui se lit de bout en bout sans voir le temps passer.
Arnaud est un bon flic mais qui connait un passage à vide et qui risque de perdre sa place dans la police. Un malheur n’arrivant jamais seul, Arnaud apprend que son grand-père paternel vient de décéder. Son père lui demande un coup de main pour vider la maison de son grand-père. C’est là que la vie d’Arnaud va basculer, alors qu’il va décider de partir à la recherche de la vérité sur sa famille.
Pour être complètement transparente, ce n’est pas le quatrième de couverture qui m’a convaincu de lire ce livre, bien au contraire. Des romans qui parlent d’un secret de famille découvert lors du décès de l’un de ses membres, il en existe beaucoup. Ce résumé ajouté à la couverture et on sait exactement ce qu’on va y trouver.
Alors, en effet, il n’y a pas de suspens… ou en réalité, il n’y en a pas là où on en attend. A la lecture des premiers chapitres, j’ai trouvé l’écriture un peu jeune, fragile. Mais cela change par la suite. Comme si l’auteur s’était lâché au fur et à mesure qu’il avançait dans l’histoire.
J’aime beaucoup cette façon de séquencer le roman : des chapitres très courts donnent indéniablement un vrai rythme à l’histoire. J’ai vraiment apprécié aussi l’utilisation d’une typologie différente en fonction des différentes périodes de l’histoire. Ça aide réellement à s’y retrouver.
J’ai, par contre, ressenti un manque par rapport aux personnages. Ils sont assez peu développés. En tout cas, pas suffisamment pour qu’on s’y attache. Le personnage d’Arnaud, flic en perdition à cause de l’alcool est un peu cliché. Et enfin, l’histoire est basée sur certains faits réels. L’exode des nazis en Argentine, la ville de Bariloche,…
En résumé, ce roman est bon et très agréable à lire, une bonne histoire avec de multiples rebondissements.
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