Jean-Stéphane Vissouze, né le 13 Août 1951 à Yaoundé Cameroun, fils de Jean-Marie Vissouze et de Jeanine Berthelet. Marié à Sylvie Peterolff le 28 Avril 1973. Passe trois ans en Nouvelle Calédonie de 1973 à 1976, ce qui le décide à suivre des cours de sociologie à Paris VIII. Au débu...
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Jean-Stéphane Vissouze, né le 13 Août 1951 à Yaoundé Cameroun, fils de Jean-Marie Vissouze et de Jeanine Berthelet. Marié à Sylvie Peterolff le 28 Avril 1973. Passe trois ans en Nouvelle Calédonie de 1973 à 1976, ce qui le décide à suivre des cours de sociologie à Paris VIII. Au début des année 80 il s'installe avec son épouse à Uzès dans le Gard, département où ils résident toujours. Après avoir monté un Restaurant-Spectacle (Le Ménestrel) pendant quatre ans, travaille comme comptable et gestionnaire dans la viticulture locale durant 28 ans. Passionné de voyages et de photographie, le couple décide, à partir des années 2000, de voyager régulièrement. La découverte de tribus dont les femmes se tatouent le visage en Asie du Sud-Est les décide à approfondir le sujet pour répondre à la question : pourquoi ? De fil en aiguille ils visitent toutes les tribus dont c'est le cas et, ayant pu répondre à cette question, ils effectuent plusieurs voyages en Afrique pour approfondir la raison impérieuse de cette coutume sous un autre aspect (les femmes à plateau). En 2019, Jean-Stéphane publie « Visages de la Liberté » qui relate cette aventure d'un point de vue ethno-photographique et en même temps récit de voyage. Le virus du voyage ethnique étant installé, ils décident de poursuivre leurs voyages avec pour but, à la fois de découvrir des peuples premiers peu connus, mais aussi de s'intéresser au sort des anciens Chasseurs de Têtes. C'est ainsi qu'ils découvrent les Mikéas de Madagascar et les Védda du Sri Lanka par exemple, mais aussi les tribus d'anciens Chasseurs de Têtes comme les Naga, les Dayak, les Wa, les Kalinga, les Ifugao, les Toraja et les Dani. A cette occasion et se référant à de nombreux ouvrages sur le sujet, Jean-Stéphane à la conviction que la Chasse au Têtes était, dans les temps anciens, extrêmement courante sur toute la surface du globe et en particulier chez nous en France. Ce qui deviendra le sujet d'un nouvel ouvrage publié en 2024 : « Nous sommes tous des Chasseurs de Têtes » qui, comme le précédent, est un récit ethno-photographique et de voyage. Le fil conducteur des deux livres est de témoigner, avant que ces peuples aient complètement disparus, d'une histoire de notre humanité trop souvent tournée en dérision ou négligée mais qui nous touche plus que la plupart des gens le pensent. Jean-Stéphane ne décrit que des tribus qu'il a visité avec son épouse et ne prétend pas avoir fait une étude ethnologique pure ni des livres de photographe professionnel. Par contre ses récits sont basés sur des faits avérés par des professionnels, de nombreuses lectures, et consolidés par ses propres photos et celles de Sylvie, son épouse.