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Le récit de Jean-Bernard Pouy s'attache à nous décrire ces marquises paradisiaques d'il y a presque un siècle maintenant. Son écriture s'enrichit de couleurs, de sensations, en parfaite harmonie avec les illustrations fauves de Joe Pinelli. Nous sommes bien au paradis sur terre mais le noir sourd petit à petit au fil des pages, comme un mal qui ronge et qui progresse dans l'esprit du héros. Un roman plein de couleurs jusqu'aux plus sombres mais pas du tout dans le genre habituel de l'auteur d'où la difficulté de le classer sur le bon rayonnage.
Un beau livre dans tous les sens du terme : bel objet au beau papier, illustré et écrit magnifiquement. Que demander de plus ?
Énormément de poésie dans ce roman intériorisé. Beaucoup de termes qui parlent des couleurs, de la nature, des femmes des îles : une écriture en douceur pour raconter d'une part la beauté des paysages et des habitants et d'autre part les horreurs de ce début de siècle en Europe.
Je connaissais plus JB Pouy pour ses polars, je m'aperçois avec bonheur qu'il peut changer de style en continuant d'écrire des romans de qualité. Les dessins de JG Pinelli ajoutent encore du charme à cette histoire.
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