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J'ai bien aimé le début de ce livre. Harry Plunk, galeriste star se retrouve coincé dans un train entre la vie et la mort après un déraillement. Il se remémore sa vie, personnelle (son enfance, la mort de son père, sa relation avec sa fille, ses histoires d'amour) mais surtout professionnelle et son ascension fulgurante dans le monde de l'art contemporain.
J'ai apprécié la description de ce monde sans pitié où l'on fait grimper les cotes à coups de buzz médiatique. Plunk évoque notamment sa relation compliquée avec un célèbre plasticien (qui ressemble beaucoup à Damien Hirst bien que l'auteur ne le cite pas en fin de livre...).
Malheureusement le roman s'égare assez rapidement et devient un peu confus, mêlant des meurtres (de la psychanalyste de Plunk) à des histoires amoureuses auxquelles on ne s'attache pas vraiment.
Une belle promesse qui n'est pas complètement tenue selon moi.
Ce livre pouvait être intéressant, enfin c'est ce que je me suis dit à la lecture de la quatrième de couverture. Un homme, richissime vendeur d'objets d'art, propriétaire de multiples galeries d'art, qui se retrouve bloqué après un accident de train et qui fait son introspection. Je m'attendais à un critique acerbe du monde de l'art, une critique sur le monde de l'argent...
Finalement, c'est une déception. Ce livre part un peu dans tous les sens et l'auteur n'a pas réussi à m'intéresser à la vie de cet homme. C'est un peu dommage car les thèmes que je m'attendais à retrouver sont finalement peu abordés, très survolés. L'auteur essaye un peu de développer le lien entre le vendeur et l'artiste mais on tombe dans la caricature avec la description des artistes.
Il y avait vraiment quelque chose à faire en creusant un peu dans ce monde de l'art, surtout que l'écriture est plutôt bonne. A la place de ça, on se retrouve avec un fouillis d'évènements plus ou moins intéressants sur la vie du marchand d'art dont certains sont très mal exploités voir même peu compréhensibles, par exemple ce qu'il se passe autour de la psychiatre.
Je n'ai peut-être pas tout compris, je suis peut-être complètement passé à côté mais en tout cas, c'est un roman qui sera vite oublié pour moi. C'est un livre qui aurait pu être bon avec ce style d'écriture et des thèmes riches, dont on peut sans doute tirer un bon roman, mais ici ça a fait flop.
La quatrième de couverture m’a attirée : Plunk, galeriste mondialement connu, se retrouve face à la mort et entame la rétrospective de sa vie.
Malheureusement, je n’ai pas été séduite par son histoire. Le style d’écriture est assez agréable, mais l’histoire du personnage principal ne m’a pas particulièrement intéressée.
L’auteur entremêle des passages narratifs de l’artiste David More, sans que je parvienne réellement à comprendre leur valeur ajoutée dans l’intrigue principale.
Je note toutefois quelques réflexions intéressantes, sur un monde où le mensonge et l’hypocrisie sont monnaie courante.
Une plongée dans le monde de l’art qui saura peut-être séduire les amateurs de ce milieu. Pour ma part, cette première lecture ne m’a pas vraiment convaincue.
Une impression mitigée que cette lecture même si la narration et l'écriture sont agréables. Le début du livre m'a rapidement intéressé avec le portrait de Harry Plunk, 53 ans, galeriste mondialement connu, marié avec une fille et déjà quelques cailloux dans sa chaussure : des visites hebdomadaires chez sa psy et la leucémie de sa mère âgée de 87 ans. Et puis, élément de dramaturgie dans l'histoire, le train qui relie Paris à Londres dans lequel il se trouve déraille et Harry se retrouve coincé dans la carcasse.
Le livre bascule alors dans le flash-back, une année en arrière lorsque Harry habitait encore New-York, et dans l'introspection. Les ennuis se sont accumulés pour lui entre une femme dépressive, une fille qui fait des siennes, la maladie de sa mère et problèmes professionnels notamment avec le fisc. L'introspection remonte jusqu'à l'enfance, là où peut-être des choses ont pu se dérégler pour Harry.
En parallèle de l'histoire, l'auteur présente un autre personnage, l'artiste David More, fantasque et en proie à des inspirations délirantes, et qui semble bien connaître Harry.
Je n'ai pas complètement réussi à m'intéresser pleinement à ce roman qui m'a pourtant intéressé dans les premières puis qui m'a eu un peu perdu et laissé de côté. Une deuxième lecture pourra peut-être me permettre de comprendre ce qui n'a pas complètement fonctionné dans mon rapport à cette histoire.
J'ai par exemple eu du mal à "switcher" entre la narration et les extraits du journal de David More.
Un livre à l'appréciation de chaque lecteur ...
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