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Erik Wietzel

Erik Wietzel
Né en 1967, Erik Wietzel est l'un des plus beaux talents de la Fantasy et du thriller. On lui doit notamment Les Dragons de la cité rouge et Ne cherche pas à savoir. Il est membre de la Ligue de l'Imaginaire, composée également de Bernard Werber et Henri Loevenbruck, entre autres.

Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « Les dragons de la cité rouge » de Erik Wietzel aux éditions Bragelonne

    Les Fantasy d'Amanda sur Les dragons de la cité rouge de Erik Wietzel

    Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com

    Une bonne histoire de dragons, enfin !

    Moi qui n’avais qu’une envie – oublier ma déception suite à ma dernière lecture, Les Oubliés (tome 2) de Léna Jomahé –, j’ai été gracieusement servie avec Les Dragons...
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    Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com

    Une bonne histoire de dragons, enfin !

    Moi qui n’avais qu’une envie – oublier ma déception suite à ma dernière lecture, Les Oubliés (tome 2) de Léna Jomahé –, j’ai été gracieusement servie avec Les Dragons de la Cité Rouge ! Pourquoi ai-je choisi ce livre, en particulier ? Essentiellement parce qu’une autre trilogie d’Erik Wietzel, Elamia, m’avait laissé un très bon souvenir.

    Ce qui m’a tout d’abord séduite, dans Les dragons de la cité rouge, ce sont les petites touches d’originalité imaginées par l’auteur : la présence de la succube Shen Sey, les décisions changeantes d’Alec – alors que l’on sait très bien, qu’au fond, c’est un chevalier au cœur noble… ou presque – et, surtout, la compagnie d’Arkan. Bien entendu, mon personnage favori ne pouvait être que le dragon qui, pour une fois, n’est pas rongé par la rancœur ni par la haine, mais plein de sagesse.

    Puis, il faut l’avouer, Erik Wietzel gère d’une main de maître les différents rythmes de son récit. Omniprésente tout au long de l’histoire, l’action sait en effet laisser place à des moments plus paisibles et riches en informations. Et bien que j’aie trouvé certains passages étranges – notamment, la poursuite de l’orc et le combat avec les elfes –, j’ai apprécié de découvrir le passé de chaque personnage, en particulier ce qui a mené Alec à se lier d’amitié avec Arkan.

    Un dénouement sans surprise, mais qui comble toutes les attentes

    A contrario, la fin est attendue. Des dragons, une épée maléfique et un royaume à sauver : des valeurs sûres qui, de ce fait, n’ont pas créé la surprise. Bref, ce qui a démarré de façon un peu inhabituelle a finalement retrouvé les sentiers battus de la classic fantasy. Une lecture efficace que l’on dévore avec plaisir, mais que l’on parvient à refermer sans trop de difficultés lorsque vient la fin. Typiquement ce dont j’avais besoin ! Je me sens néanmoins obligée de le souligner : gare aux quelques fautes d’orthographe disséminées ici et là.

    En conclusion, si vous aimez les grandes histoires d’heroic fantasy qui ont su faire la renommée du genre, Erik Wietzel est fait pour vous, à n’en pas douter !

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    Couverture du livre « Les dragons de la cité rouge » de Erik Wietzel aux éditions Bragelonne

    Gilles CLECH sur Les dragons de la cité rouge de Erik Wietzel

    Beaucoup d'action, mais des personnages un peu superficiels.

    Beaucoup d'action, mais des personnages un peu superficiels.