80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Quentin est inquiet, sa mémé qu’il aime et chez qui il passe les vacances, est à l’hôpital. ^
« La pauvre ! C’est triste de perdre la tête » a dit sa maman. Elle doit lui expliquer l’expression :
« Quand on dit que quelqu’un a perdu la tête, c’est qu’il n’a plus de mémoire. »
Mais comment est-ce possible ? ce demande Quentin, « mémé qui gagnait toujours au jeu des petits chevaux », mémé qui savait tant de choses, comment les a-t-elle oubliées ?
Il ne sait pas trop comment il va trouver sa mémé, va-t-elle le reconnaitre ?
Le petit garçon découvre l’univers de l’hôpital, ainsi que la réalité de la maladie. Sa mémé parfois se souvient, parfois oublie, il faut faire avec.
Ce petit livre joliment illustré de dessins naïfs et colorés aborde avec simplicité et humour le thème de la maladie et de la vieillesse. Même si une mémoire défaillante et le fait de ne plus être reconnu par la personne malade peut inquiéter un enfant, tout cela est dit de manière claire et rassurante.
Une jolie histoire qui permet d’aborder le problème de la vieillesse et de la perte des facultés cognitives. Bien sûr, il faut pouvoir répondre aux questions que l’enfant peut poser sur la perte de mémoire et la maladie, car l’histoire ne répond pas à tout.
Le style est simple et la lecture facilitée à partir de six ans.
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