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Un récit poignant, émouvant.
J’ai dévoré de roman, alors, que je ne suis pas vraiment ni concerné, ni fan. Mais la description de l’auteure m’a convaincue d’essayer de la lire.
J’avais rencontré deux personnes qui avaient été victimes de ce genre de personnages , les pervers narcissiques. Jamais ce qu’elles ont pu me raconter n’avait atteint ce que Sarah a vécu. Heureusement pour elles, elles ont vite compris que si elles persistaient, elles se trouveraient dans un tel engrenage que personne ne les croirait par la suite. Elles en sont sorties.
Mais la pauvre sarah, n’a pas pu ou su se sortir des griffes de ce chacal, c’est dommage pour elle.
Tout au long du livre ont découvre par l’intermédiaire de son journal intime, retrouvé par une collègue qui recherche à qui il appartient, cette horreur et cette manipulation d’un homme (si on peut le nommer ainsi, pour moi, ces personnages sont des nuisibles, et ils n’ont rien à faire au milieu des habitants de notre planète). On a envie de l’aider, de crier tellement on est prit par l’intensité de la lecture.
Je trouve qu’elle a bien fait de le dénoncer. Parfois il vaut mieux tard que jamais, au moins, il ne devrait plus faire de troisième victime.
C’est un roman édifiant que j’ai eu à lire, et j’en parlerai dans mon entourage afin que de la grand-mère à la maman, elles puissent alerter leurs filles sur ces horribles personnages dont les médias parlent très peu, mais ce n’est pas étonnant, la mode est à d’autres perversions comme ce que l’on appelle lgbt et d’autres lettres qui se rajoutent dans cette fiente suggérée par des idéologues qui souhaitent transformer la société selon leurs désirs. J’enrage !
Merci beaucoup à Magalie Valla.
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