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Ririchiyo est issue d’une riche famille. Elle est habituée à ce que les gens ne voient en elle que l’héritière, cherchant sa compagnie uniquement pour en tirer avantage. Pour se défendre mais aussi par manie, elle tient des propos insultants à tous ceux qu’elle croise tout en souffrant après coup de les avoir blessés. Aussi, à 18 ans, décide-t-elle de quitter le domaine familial pour rejoindre la maison Ayakashi dans laquelle séjournent de riches héritiers comme elle. Elle espère que ce lieu unique lui permettra de développer des rapports sociaux plus normaux. Mais cette maison renferme des secrets, notamment la présence de « secret service », sorte de garde du corps attribué à chacun des résidents…
Ce manga fait beaucoup référence au folklore japonais, mettant en scène des figures typiquement nippones, notamment les Yôkai, nom donné aux créatures surnaturelles japonaises, bonnes ou mauvaises.
Pour la petite histoire : en japonais « Ayakashi » s’écrit de manière différente. Dans « maison de Ayakashi », Ayakashi est un nom de famille. Dans « maison Ayakashi », on utilise les caractères qui signifient « bizarre, étrange, surnaturel ».
Ce n’est pas le manga que je préfère, mais il m’a tout de même été d’une lecture agréable – passées les trente premières pages où l’intrigue est un peu lente à se mettre en place. Ce livre cible plutôt un lectorat adolescent.
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