Ayant fini son Mémoire de diplôme d'études supérieures de Droit Public à la Faculté de Droit à Aix-en Provence, l'auteur a soutenu la thèse de Doctorat d'Etat à l'Université de Paris I (« Les mécanismes internationaux de la protection des biens culturels en Asie du Sud-est » les 25 et 26 Février...
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Ayant fini son Mémoire de diplôme d'études supérieures de Droit Public à la Faculté de Droit à Aix-en Provence, l'auteur a soutenu la thèse de Doctorat d'Etat à l'Université de Paris I (« Les mécanismes internationaux de la protection des biens culturels en Asie du Sud-est » les 25 et 26 Février 1975 ; Président de Thèse : M. le Doyen Claude Albert COLLIARD).
Il participait à la fête de fin d'année 1972 à la Maison du Cambodge dans une ambiance estudiantine.
En avril 1975, la gloire de l'Empire Khmer s'envolait comme un oiseau. Où étaient les connaissances, la science et l'héritage de la génération Khmère ?
Mais la présence du Cambodge reste éternellement à travers des documents 'Kambuja' offerts par les enfants de M. l'Ambassadeur Nay Valentin et avec les aides des amis cambodgiens et français, le Centre de documentation et de recherche sur la Civilisation Khmère 'CEDOREK' était inauguré en présence du Maître François Perroux, le 31 mars 1978 à Paris.
En qualité d'assistant du Maître François Perroux (1903-1987), l'auteur se sentait renforcé de l'évolution politique du Cambodge et s'engagea au service du Front National de Libération du Peuple Khmer sous la présidence de S.E. Son Sann.
L'auteur acceptait les missions aux sessions de l'Assemblée Générale des Nations Unies (1984-1988) en qualité de Chargé des missions près de S.E Son Sann, Premier Ministre du Gouvernement de Coalition.
En ce jour, l'auteur commençait et achevait la monographie de la Maison du Cambodge.