Cavaleri Tony

Tony Cavaleri est né le 9 février 1950 , au pied d'un terril liégeois, en Belgique, dans une famille italienne installée ici quelques années plus tôt. Son père, Arcangelo, est mineur de fond. Il en a hérité un tempérament obstiné, « dur au mal ». Sa mère, Rosa, est une « mama italienne » digne d'un film de Fellini. Et tout porte à croire qu'elle nourri le « petit Antonio » avec la même recette que la « mama » de Lino Ventura. En 1950 , « Le gorille » n'était -il pas sur le ring du Trocadéro, à Liège ? Dès son adolescence, Tony Cavaleri partage avec l'acteur franco-italien une même passion pour la lutte gréco-romaine. Pour le jeune Cavaleri, la salle des sports tient vite lieu d'école : il y apprend la combativité, la souplesse, l'endurance. S'il lui arrive alors de remonter sur le ring, c'est pour mettre son « physique » au service des plus faibles, des plus démunis. Ces « grandes gueules » n'ont-elles pas des cœur « gros comme ça » ? Il participe à de nombreux galas de catch, des exhibitions au profit d'associations , comme « Les restos du cœur », « Julie et Mélissa », bien d'autres encore. Professionnellement, depuis 1995, Tony Cavaleri s'est consacré exclusivement à ses inventions. Avec l'obstination d'un fou.Avec la rigueur d'un sage ! Dans un premier temps, il a cherché à améliorer ses outils de travail. Après quoi, il s'est consacré à certains aspects de la propreté urbaine. Depuis il a élargi son champs d'action : lutter contre le gaspillage de l'eau, contribué à renforcer la sécurité routière, créé des livres illustrés accessibles aussi bien pour les enfants voyants que ceux atteints de cécité. Plus près de nous, il vient de finaliser industriellement un petit dispositif « anti ronflement » qui prévient également les apnées du sommeil. Aujourd'hui, une nouvelle passion l'anime : le cinéma ! Les circonstances de la vie, plutôt dure à l'époque pour ses parents, ont fait que de 6 à 11 ans ,le « petit Antonio » a été élevé dans un institut pédagogique géré de manière très stricte par des bonnes sœurs. Les meilleurs souvenirs de cette époque étaient les séances mensuelles de cinéma ! Plus qu'une récompense pour enfants sages, ces séances représentaient les moments tant attendus pour s'évader, virtuellement bien sur. Tony Cavaleri se met à écrire la version romancée de son projet de film policier long métrage , « E COSA VOSTRA ». En mai 2019, il rencontre des producteurs italien et américains qui ont été directement séduits par l'histoire et qui ont décidés de l'adapter prochainement à l'écran, en coproduction avec l'auteur liégeois.