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Violent cases

Couverture du livre « Violent cases » de Gaiman Neil/Mc Kean aux éditions Au Diable Vauvert
Résumé:

« Après l'accident, j'ai eu le bras en écharpe. Mon père m'a emmené chez un ostéopathe dont on lui avait parlé. On a traversé les rues grises de Portsmouth et on s'est arrêté devant une maison crasseuse. On est descendu au sous-sol.
Là, il y avait quatre ou cinq vieux messieurs qui parlaient... Voir plus

« Après l'accident, j'ai eu le bras en écharpe. Mon père m'a emmené chez un ostéopathe dont on lui avait parlé. On a traversé les rues grises de Portsmouth et on s'est arrêté devant une maison crasseuse. On est descendu au sous-sol.
Là, il y avait quatre ou cinq vieux messieurs qui parlaient et faisaient cuire le même genre de trucs que mes grands-parents, des trucs bizarres, qui ne sortaient pas d'un emballage. L'un d'eux était l'ostéopathe d'Al Capone. »
Publié pour la première fois en France par Zenda en 1992, complètement épuisé depuis plus de dix ans, c'est avec une nouvelle et somptueuse palette chromatique, toute en nuances de bleus, de gris et de bruns, que se présente Violent Cases dans cette nouvelle édition.
Ce comic est le premier produit par le duo magique formé par le scénariste Neil Gaiman et le dessinateur Dave McKean, dont la longue collaboration a donné à lire Coraline, Mirrormask, Des loups dans les murs ou encore Le jour où j'ai échangé mon père contre deux poissons rouges.
Dans ce récit onirique, sombre mais magnifique, Gaiman se met en scène lui-même et, s'adressant directement au lecteur, évoque ses souvenirs d'enfances. Il se souvient de sa rencontre avec un vieillard qui se révèle avoir été l'ostéopathe d'Al Capone.
Une fascinante mise en abîme, où dessins et scénario se déroulent comme de vrais souvenirs, insaisissables et évanescents. A mesure que le gamin écoute les souvenirs du vieil homme, le lecteur découvre avec lui l'époque de la prohibition et de ses armes que l'on cachait dans des étuis à violons, les « violent cases ».

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