Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Soixante ans séparent L'aigle (1960) et El Camino (2020) ; un kaléidoscope d'impressions, de ressentis, d'espoirs, de déceptions, d'expériences, d'interrogations, de certitudes aussi.Ce geste poétique, s'il montre le cheminement d'une sensibilité, révèle également la volonté d'atteindre le beau et ce qu'il pourrait dissimuler. Peut-être l'azur ?Né à Lyon en 1946, Michel Bancillon fut élevé par sa grand-mère paternelle après le divorce de ses parents. Il trouva chez elle une quiétude favorable à l'imagination. À 15 ans, de retour auprès de sa mère, il découvrit la librairie d'Henri Pérol rue d'Aguesseau. Après des études d'Histoire à Lyon 2, il devint employé de banque.Désormais à la retraite, il vit en Ardèche. Au gré des circonstances, il compose des poèmes selon sa fantaisie et sans autre contrainte que celle de transmettre au mieux une idée ou une émotion.
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