"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Venise et l'Orient, deux destins intimement liés. Devenue une grande puissance grâce à sa suprématie commerciale en Méditerranée, Venise a su établir très tôt des liens privilégiés avec les grandes dynasties musulmanes, les Ayyoubides, les Mamelouks et les Ottomans. Du XIVe au XVlle siècle s'ensuivent d'importants échanges culturels et artistiques entre la cité maritime et les grandes villes du Proche-Orient, Alexandrie, Le Caire, Damas, Jérusalem, Istanbul. Dans le même temps où Venise se pare de palais d'inspiration orientale, où ses grands peintres -Carpaccio, Bellini, Lotto-se plaisent à peupler leurs tableaux de personnages enturbannés ou de précieux tapis venus de Turquie ou d'Egypte, s'opère une formidable transmission des savoirs et des techniques entre l'Orient et la République vénitienne, de l'art du verre à celui du métal. Et Venise d'exporter à son tour des objets de luxe à la mode orientale vers les grandes capitales d'Europe.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !