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Raphaèle Billetdoux est devenue Marie Billetdoux un soir d'octobre 2003. C'est sa façon d'assumer la disparition de son compagnon, Paul Guilbert, mort un an auparavant, après trente ans de relations secrètes. Raphaèle avait 19 ans quand elle a rencontré Paul Guilbert, et lui, vingt de plus. Chacun vivait séparément. Elle, une vie solitaire d'écrivain, lui, de journaliste politique au Figaro, très connu du Tout-Paris médiatique.
Un peu de désir sinon je meurs se présente comme une lettre de l'auteur à son éditeur, Richard Ducousset, dans toute la crudité de son désarroi d'écrivain : impossibilité d'écrire, difficulté de vivre après la mort de son compagnon, indifférence et oubli de tous, néantisation de soi. Tout y passe sans que son éditeur ne lui réponde. Et c'est sur ce silence, cette absence de signes qu'elle bâtit son récit. Car aux reproches, succède l'évocation d'une relation amoureuse exceptionnelle, atypique, secrète, faite de tendresse et d'autonomie, de mystère et de complicité.
C'est un livre atypique, aussi dérangeant qu'émouvant, qui aborde l'intime sans jamais donner dans le voyeurisme ou l'obscène. L'histoire d'une vie faite d'écriture et d'amour et à qui on retire les deux. C'est du moins ce que croit l'auteur car tout tient par la langue et l'écriture, lumineuse, musicale, expressive, puissante.
un peu de plaisir sinon je lis pas.
certes, Marie (Raphaëll) Billetdoux a du et peut-être doit encore souffrir mais au lieu de ce roman elle aurait tout confié à un psy, ça nous aurait éviter des pages pénibles à lire
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