Léger comme une bulle de savon, gai comme une pirouette, complice comme un clin d'oeil : une plume très classique pour un portrait peu classique des douze signes du zodiaque.
" Le Lion a une grande passion pour la démocratie, sauf qu'il ne comprend pas pourquoi les autres ont encore quelque chose à dire quand il a fini de parler... Les réparties du Capricorne sont souvent cinglantes. Elles lui viennent souvent le lendemain. C'est pourquoi il se met écrivain, pour pouvoir les placer.."
Nombreux sont ceux qui ont aimé et défendu ce petit livre, journalistes, écrivains, bibliothécaires, libraires et lecteurs militants... car à ce jour Tristesse de la Balance s'est vendu, sous ses diverses éditions, à plus de 100 000 exemplaires.
Jacques A. Bertrand n'est pas un astrologue (il le dit lui-même), c'est un écrivain (il ne le dit pas, mais il ne peut le nier). Il l'a depuis confirmé. N'empêche : sa Tristesse de la Balance, au fil des ans, a été " applaudie à la fois par les détracteurs de l'astrologie et certains de ses thuriféraires, honni par d'autres des deux bords ". Et continue de faire parler de lui. D'où cette nouvelle édition, sans illustrations, augmentée d'une postface de l'auteur.
" Ce livre m'a échappé. D'abord conçu comme une série de portraits humoristiques pour un mensuel de bandes dessinées, cet essai a rapidement rencontré des lecteurs enthousiastes qui m'ont sommé de poursuivre et d'en faire un livre...
... J'ai joué des analogies, entre le peu que je savais de la tradition astrologique, le symbolisme des signes, leur image, le cycle des saisons et celui de la vie humaine. Je me suis inspiré de la psychologie supposée de personnages célèbres. Ou de celle de mon entourage proche. La Vierge, par exemple, c'est mon père. Mais un pharmacien de mes amis m'assure que c'est son portrait à lui, tout craché. Et la touchante bonne volonté que semblent mettre tous les Gémeaux que je rencontre à ressembler au portrait que j'ai fait d'eux ne laisse pas de m'émerveiller... "
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