Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Il y a dix ans exactement, nous rencontrions Jay McInerney à New York, au luxueux Gramercy Park Hotel. Paraissait La Belle vie, deuxième opus de la vie des Calloway (après Trente ans et des poussières, 1992) qui diagnostiquait l'après 11 septembre et ses répercussions puissantes sur les mentalités des New-yorkais. Il s'agissait de raconter la mutation d'un clan ultra riche obsédé par ses intérêts en une classe pour un temps devenue humaniste, sensible à l'avenir de l'humanité. On retrouve Corrine et Russell, dix ans plus tard, dans ce dernier roman à paraître le 11 mai, Les Jours enfuis. Si le couple continue à mener la belle vie, vernissage, lancement de livres, fréquentation de la jet set, il est usé. Russell a du mal à faire fonctionner sa maison d'édition, manque d'argent, et Corrine entame une liaison avec le très riche Luke qu'elle avait rencontré au lendemain du 11 septembre. A l'occasion de la parution de ce troisième volet, il nous a paru judicieux de revenir sur son parcours. A travers deux thèmes qui qualifient au mieux la vie et l'oeuvre de McInerney : le couple et New York. A ce jour, après de nombreuses recherches ici et là, aucun portrait aussi précis n'a été réalisé sur l'écrivain new-yorkais le plus connu de la planète aux côtés de Philip Roth et de Bret Easton Ellis. Après des heures de travail et d'archivage méticuleux, nous vous offrons ce portrait de 22 000 signes, pour tout savoir ou presque sur ce brillant écrivain.
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