80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
«Il est tellement difficile de survivre sans un néant à combattre que j'ai créé une machine pour assiéger la réalité. Une machine infernale qui chauffe les corps à blanc et les transmute en sphères d'or pur. Une machine infernale donc, qui descend la montagne du purgatoire en criant de toute sa ferraille sombre, et qui passe en murmurant ses formules dans les ruelles, la nuit, avec son aura de frisson et son cortège de damnés rouillés.» C'est en ces termes que l'auteur décrit ce livre - Tout ça c'est dans ta tête - un être et son personnage : tel est le Double qui tente vainement de garder la tête hors de l'eau pour finir par comprendre que le salut viendra de la noyade.
Passage par une mort à soi-même pour un véritable ressourcement au travers d'une profonde spiritualité.
Ici, c'est l'acte d'écriture même qui est interrogé, et le sens de notre rapport créatif et donc poétique au Monde que nous vivons comme «extérieur».
«Annoncé comme la suite tant attendue de Transere, on se prend à douter de l'existence de l'auteur et surtout de sa santé mentale !» Le Veilleur «Mais finalement, qui est donc ce patient ?» Le Matin «C'est sombre, c'est violent et grossier, c'est dégueulasse et contradictoire ! De qui se moque-t-on ?» L'Echo «Damien Spleeters a bu aux mamelles de la pornographie un lait mêlé de sang et de nuit.» La Lanterne
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