80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le Droit International Humanitaire repose sur le sentiment d'humanité et la protection de la personne humaine en période de conflit armé. Ses fondements éthiques et moraux sont aujourd'hui solidifiés par une normativité de moins en moins contestée. Toutefois, si les Etats africains ont majoritairement adhéré au DIH, il n'en demeure pas moins que certaines spécificités africaines en rendent sa réception difficile et sa mise en oeuvre malaisée. Traumatisée par la traite négrière et la colonisation, l'Afrique noire est en proie à de nombreux conflits armés aux multiples causes mais aux conséquences toujours dramatiques : régression économique, flux de réfugiés et de déplacés internes, mercenariat, participation d'enfants-soldats, génocide, etc. Il en découle un décalage entre la théorie du DIH et les réalités africaines. De nombreux obstacles liés à un usage du DIH en fonction d'intérêts étatiques et à un usage immodéré du principe de souveraineté grèvent fortement la mise en oeuvre du DIH. A cela, s'ajoutent l'insuffisance d'information de la population civile et l'ignorance du DIH par ses principaux destinataires.
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