"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cet ouvrage traite de la variation entre structures analytiques et synthétiques dans les langues scandinaves par rapport aux langues romanes (au sens large). Il est proposé que la distinction analytique-synthétique est utile pour l'analyse morpho-syntaxique comparative, ainsi que pour la typologie linguistique en général. Nous partons de l'hypothèse qu'une structure analytique est transparente par rapport à une structure synthétique équivalente, dont la morphologie présente une certaine opacité, allant de l'affixation agglutinative jusqu'à la morphologie fusionnelle et supplétive. Il est proposé que les langues créoles sont maximalement analytiques, chaque morphème occupant sa propre position dans la structure topologique ou arborescente. L'islandais, lui, se trouve à l'autre extrême de l'échelle de par sa morphologie fusionnelle. Il est toutefois constaté que l'on trouve des positions vides dans la structure morpho-syntaxique des langues analytiques ainsi que synthétiques, mais il est proposé que dans ce premier cas, le contenu de la position vide est récupérable grâce aux facteurs discursifs, tandis que dans le dernier cas, il est exprimé par la morphologie.
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