80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Mise en garde de l'auteur :
Ce recueil aurait pu s'appeler C'est pas parce qu'on n'a rien à dire qu'on doit fermer sa gueule. Mais ainsi réduit à un silence du second degré il n'eût peut-être plus été audible par le lectorat fin et cultivé auquel je le destine. En préférant le titre Si je meurs idiot je me suicide j'ai plutôt choisi le principe cinglant de la formule lapidaire pour mieux frapper au coeur les esprits les plus finement dissimulés sous des dehors revêches et bourrus, esprits qui sont aussi les plus subtils et les moins altérés par les conformismes de bon aloi.
Pourront ainsi y trouver leur compte les poivrots, les frustrés, les navrés, les névrosés, les rustres, les bourrus, les carbonisés de la coiffe, les athées, les mécréants, les hargneux, les illettrés, les moches, les revêches, les boutonneux, les socialistes, les cocus, les précieux, les tordus, les crédules, les obsédés, les arriérés, les grands post-maturés, les pervers, les naïfs, les protestants, les complotistes, les morveux, les baveux, et d'une manière générale tous les « trous du cul » de la planète.
Mais ce n'est pas gagné ! Pour éviter tout risque de contamination ne testez pas ce recueil vous-mêmes, offrez-le d'abord à quelqu'un que vous n'aimez pas, et attendez de voir.
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