80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dans ce livre très personnel et poétique, Gérard Rondeau nous offre de magnifiques photographies en noir et blanc, miroirs du monde, de ses zones d'ombre et de souffrance, de ses silences et interstices. Tantôt d'inspiration surréaliste, quand il s'agit du Grand Jeu de Roger Vaillant, tantôt très réalistes, à travers une galerie de portraits d'Alain Bashung, Cabu ou Paul Bowles, ces oeuvres sont des témoignages vivants, des histoires en suspens.
Entre ombres et lumières, des paysages de Champagne, dont l'artiste est originaire, marqués par la Grande Guerre, à ceux de Sarajevo qui portent eux aussi la marque des balles, en passant par ceux plus riant de Tanger, Gérard Rondeau nous dévoile les méandres de son imaginaire.
Dans un style épuré et intime, il rassemble les fragments et les traces de la guerre, du temps et des hommes.
Gérard Rondeau s'impose comme l'un des grands photographes de notre temps.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année