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SERVIR - servir la France et les français, c'est ce qu'a toujours fait Philippe Pétain, Général victorieux en 1918, après le désastre de juin 1940, le maréchal Pétain se dévoua afin d'assurer, comme chef de l'Etat, la sauvegarde de la Patrie.
Ayant conclu avec l'ennemi un armistice sauveur, il se consacra à préparer la revanche contre l'armée allemande et le redressement du pays par sa politique familiale, sociale et de formation de la jeunesse. Non sans difficultés, il protégea la grande majorité des français sur un territoire occupé par l'ennemi, mais fut déporté en Allemagne le 20 août 1944 sur ordre de Hitler, qui lui reprochait sa résistance permanente.
SERVIR, c'est ce que fit en Algérie, de 1954 à 1962, l'armée française (avec 250000 combattants français musulmans, dont les "Harkis ") au service de la population et pour bâtir une Algérie nouvelle. Jacques Soustelle et Robert Lacoste avaient fait en sorte que l'armée mène une politique de pacification facilitant le rapprochement des deux communautés. L'épopée des SAS constitua un changement révolutionnaire avec la réalisation de la réforme communale et la mise en place de petits cadres français-musulmans.
Assistance médicale et sociale sur tout le territoire, Equipes médico-sociales itinérantes, Mouvement de Solidarité féminine firent évoluer la femme musulmane. L'armée française agit spécialement pour la scolarisation et la formation de la jeunesse musulmane avec création d'organismes spécifiques, dont le Service de Formation des Jeunes d'Algérie. L'Armée oeuvra pour l'aménagement et le développement de tout le territoire algérien.
SERVIR pour un avenir au service des hommes en faisant appel à la jeunesse, lui inculquant des valeurs pour faire face à la crise morale et civique dont souffre actuellement la société française. Ce peut être réalisé en particulier par des services civiques obligatoires (pour les jeunes des deux sexes) : service de protection civile, de préformation et promotion sociale, de solidarité dans les domaines sanitaire et social.
Un tel service serait mis en place en France et dans les pays en développement, dont ceux d'Afrique, en "équipes mixtes " (jeunes européens et jeunes africains). Ce service interviendrait avec l'extension des relations culturelles mutuelles et la réalisation de projets conçus par " l'Organisation internationale de la Francophonie ". MALHEUREUSEMENT, depuis 1945, ce n'est pas la vérité historique qui est enseignée aux français, mais une Histoire hémiplégique et notre société, avec " le politiquement correct " baigne dans le " mythe gaullien ".
Il en est ainsi en ce qui concerne la connaissance des faits qui se sont déroulés réellement entre le 17 juin 1940 et le 20 juin 1946 en France, en Afrique, en Syrie, où Charles de Gaulle, le " pseudo-libérateur ", fit couler le sang français. Il en est ainsi aussi en ce qui concerne les conditions dans lesquelles Charles de Gaulle, ayant repris le pouvoir en mai 1958, livra la province française d'Algérie aux terroristes du FLN, avec la situation désastreuse qui en résulta tant pour les hommes d'Algérie (Harkis et " Pieds-Noirs "), que pour cette Algérie et pour la France elle-même.
La POSTFACE rappelle d'abord que, durant quatre années, le maréchal Pétain, protégeant les français, mit en place ce qui devait permettre la rénovation de la France. C'est par une " Haute-Cour " illégale que le Maréchal fut condamné, subissant ensuite un dur calvaire jusqu'à la veille de sa mort le 23 juillet 1951, alors qu'il avait par quatre fois sauvé la France ! Il serait temps que, réhabilité, le vainqueur de Verdun repose à Douaumont au milieu de ses soldats.
Ensuite dans la postface, sous le titre " France-Afrique " sont évoquées les relations particulières entre la France et les populations issues de ses colonies, notamment d'Afrique : durant plus d'un siècle, au sein de l'Armée française, des centaines de milliers d'africains combattirent, un bon nombre jusqu'au sacrifice suprême. Ce fut le cas de l'armée d'Afrique reconstituée en 1941 par le général Weygand, qui rendit la gloire aux armes de la France et libéra un tiers du territoire métropolitain.
La postface se termine en souhaitant qu'un combat commun - jeunes européens et jeunes africains - pour le développement des pays africains se réalise en particulier dans les domaines de l'Education, de la Santé et de l'Eau.
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