80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Au moment de recevoir le Prix Adorno en 2012, Judith Butler se demande après Adorno s'il est possible de vivre une bonne vie dans une mauvaise vie. Cette ancienne question de la philosophie morale prend un sens neuf si on la pose dans les conditions concrètes de nos existences. Or l'organisation politique de nos vies, la marque que le pouvoir inscrit en elle, augmente partout les inégalités.
Que peut donc signifier mener une vie bonne, une vie vraie quand la plupart sont exposés dans leur chair à la vulnérabilité d'une mauvaise vie ? Comment penser la résistance de la vraie vie à la fausse ?
Telles sont les questions que'elle aborde de front sans reculer devant les difficultés qu'elles suscitent.
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