Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Psychokinese t.3 : agir au coeur de la matière

Couverture du livre « Psychokinese t.3 : agir au coeur de la matière » de Alain Moreau aux éditions Jmg
  • Date de parution :
  • Editeur : Jmg
  • EAN : 9782357843431
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Ce troisième tome de Psychokinèse concerne notamment l'étude d'un sujet psi incontournable : Jean-Pierre Girard. Ce dernier est connu pour manifester le même genre d'effets psychokinétiques sur la matière qu'Uri Geller. L'auteur évoque l'enfance de Jean-Pierre Girard, sa découverte de la PK, sa... Voir plus

Ce troisième tome de Psychokinèse concerne notamment l'étude d'un sujet psi incontournable : Jean-Pierre Girard. Ce dernier est connu pour manifester le même genre d'effets psychokinétiques sur la matière qu'Uri Geller. L'auteur évoque l'enfance de Jean-Pierre Girard, sa découverte de la PK, sa période de « salons », ainsi que ses premières expériences sous contrôle scientifique. Il développe ensuite d'autres manifestations de psychokinèse associées à d'autres sujets PK, dont celles de Jean-Marie Le Gall, lequel a manifesté le même type de capacités d'action sur la matière avant de se consacrer notamment au « magnétisme ». Le Gall a aussi participé à des expériences sous contrôle scientifique, notamment avec Jean Dierkens. Il évoque d'autres expériences menées sur des ustensiles métalliques (notamment par des enfants). Un chapitre entier étant consacré aux « séances PK » dont l'objectif était d'essayer de manifester des effets PK sur des couverts ainsi que des phénomènes psychokinétiques : rotations de cônes non-magnétiques sous bocal de verre, pliage de barres en duralumin, etc. Tous ces phénomènes ont été obtenus par des amateurs lors des stages de développement du psi organisés par Jean-Pierre Girard. Cet ensemble de données démontre de manière objective la réalité de la macro-psychokinèse et notamment de ce qui a été appelé, dès les années 1970, l'effet Geller ou « l'effet G ».

Donner votre avis