80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les rites et les croyances humaines ne sont plus que les naïfs souvenirs de notre préhistoire, tant l'homme s'est forgé une nouvelle conscience de son environnement immédiat et de son espèce. Est-ce à dire qu'il jouit de la plus grande liberté possible ? L'apparente liberté offerte par les productions des firmes commerciales, publicitaires et politiques peut le laisser penser. Pourtant, il est devenu impossible d'échapper au diktat de la bienséance et des politiquement ou « journalistiquement » corrects qui baignent notre société. Y a-t-il encore dans nos vies le moindre moment dégagé de toute manipulation, pur produit de notre réflexion personnelle ?
Ce travail n'incarne pas une obsession paranoïaque mais est le constat objectif de la perte de notre droit le plus élémentaire, la liberté. Les hommes sont niés en bloc pour mieux servir les intérêts d'organisations capitalistes anonymes. Lorsqu'ils se débattent et croient défendre leurs droits et leurs intérêts politiques ou syndicaux, ils continuent à confirmer les lois du marché. Chacun s'anime encore sans se poser la seule question qui vaille : pourquoi ne suis-je pas le libre penseur et le libre acteur que ma libre conscience autorise ?
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